230 poésies d'internaute.
Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir
Balade en compagnie de William Shakespeare,
Pierre de Ronsard,
Jean de La Fontaine,
Friedrich Hölderlin,
Alphonse de Lamartine,
John Keats,
Victor Hugo,
Charles Baudelaire,
Stéphane Mallarmé,
Arthur Rimbaud,
Rabindranath Tagore,
Paul Valéry,
Louis Aragon,
Paul Eluard,
Jacques Prévert, Pablo Neruda, Yves Bonnefoy, Adonis, François Cheng, Joseph Brodsky, Nimrod et bien d'autres..
La poésie qui, un jour ou l'autre dans notre adolescence a interpellé un grand nombre d'entre nous est toujours bien vivante.
Nouveaux poèmes ou vers déjà connus ?
L’idée que j’attache à la poésie est donc celle d’une imitation en style harmonieux, tantôt fidèle, tantôt embellie de ce que la nature, dans le physique et dans le moral, peut avoir de plus capable d’affecter, au gré du poète, l’imagination et le sentiment.
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Beau parleur de Ismo diesel
La nuit tombée, la solitude fait rage l’argent manques à l'appel et mon sourire se fait rare. À ce stade de la vie rien n’a d’importance à mes yeux les deux choses auxquelles je tiens vraiment m’échappent . Je perds l’un à cause de l’autre Des questions refont surface et plongent mon cœur dans l’extase Je n’ai ni faiblesse ni courage Je perds la tête car sans toi tout est fade Tant de recherche tentée pour te retrouver mais sans succès Là le ton monte mon intuition me trompes comme à chaque début de phrase J’ai trouvé la solution qui paraît tout d’un coup sombre Je fais l’effort de réaliser la solution mais tout paraît inévitable Dieu est-il toujours avec moi ? Difficile de se dire que je risque de commettre le pire L’avenir me semble juste et naïf Le paradis me tant les bras mais mon corps me ramène sur mes pats Pour réaliser mon désir l’enfer ne pourra qu’être ma destination Je fais toujours l’effort pour ne pas me tromper d’imagination Prêt à tout pour vous oui prêt à tout L’argent l’amour et même toi mon ami vautour La famille se mêle au jeu et tout redevient chelou Le diable m’interpelle au bord du réel et me plonge dans un interface remplie de rêve Que dois-je en pensée ? Accepter le deal ou tout laisser tomber ? J’ai tant souffert pour vous que je me sens plus aimé Maman papa si vous m’entendez sachez que j’aurai bien voulu que vous me grondiez J’ai volé des vies j’ai volé des âmes J’ai pris mon courage et j’ai choisi les flammes .NOUVELLE ERE de EMONGO ENONGE MARLIN
Ecoute ma sœur, mon frère,
Les délires de cette nouvelle ère,
Ou le malin se croit si malin,
Car il voit son temps touche à sa fin.
Il y a un mal qui rode sous le soleil,
En pleine jour et le soir dans notre sommeil,
Avec force et plein d’armes,
Son but précis et de toucher ton âme.
Il veut prendre le monde dans ses mains,
Croyant contrôler tous les humains,
Il se croit le maitre dans son jeu,
Or il s’enfonce lui-même dans son feu.
Dieu relaxe dans la grande lumière,
Et regarde le monde de l’intérieure,
Il est là, il ne nous a pas délaissés,
Il nous écoute, c’est juste pour nous tester.
Frères et sœurs de l’humanité,
Renforçons nos pouvoirs d’immunité,
C’est ne pas la fiction mais la réalité,
Nous tendons vers la fin, je t’invite à médité.
Reprenons conscience de nos âmes,
Nos yeux vers Dieu, notre arme,
Pour vaincre le malin en cette fin de temps,
Nous avons besoin d’un bain de changement.
C’est pourquoi j’utilise l’ancre de mon stylo,
Je te rappelle juste met toi au boulot,
C’est dans l’écriture que je touche en profondeur,
Car je sais que l’écrit crie à son lecteur.
La présence de Dieu lui désarme,
Réveil toi et prend ta lame,
Il n’y a pas le temps d’être en larme,
Tes yeux vers Dieu, seul notre arme.
histoire vraie de sagesse
un mariage heureux, se sont deux belles âmes,qui se sont trouvées,conectées,comme par magie ,
du renvoi du miroir.
Idem,en forment une belle lame,dans la lueure ,de leur bonheur, accompagnée,de colombes,blanches,comme la robe de la mariée,
survolent,le ciel,pendant leur lune de miel,de l'art
quand ciel,oh cette merveille.,
ORLY de georgio
C'était un beau Samedi tout à fait ordinair
et j'étais désoeuvré, aussi pour me distraire
je décidais alors de me rendre à ORLY
voir tous ces passagers, riant, sans se presser,
pour atteindre l'avion et pour monter à bord.
Descendant du taxi je l'avais aperçu
Mon Dieu qu'elle était belle
Je l'ai jamais revue.
Il est venu le temps de Maxime G
Il EST VENU LE TEMPS …
Dans une période qui cristallise l’ensemble des combats fantasmés qui n’ont jamais abouti,
Il s’agit de dresser le bilan des défis de notre temps dès aujourd’hui.
« Il serait temps de … » dit-on souvent,
Mais au fond, qu’est-ce qu’on attend ?
Il est venu le temps de renverser notre perception de la normalité,
Notre vision étriquée conditionnée par la notion de posséder.
Il est venu le temps de valoriser l’être plutôt que l’avoir,
Délaisser la bêtise au détriment du savoir.
Il est venu le temps de s’émanciper de nos politiciens,
De se réveiller et de prendre notre destin en mains.
Il est venu le temps de s’unir dans l’adversité,
Cesser les attaques fratricides qui n’ont vocation qu’à nous diviser.
Il est venu le temps de changer notre vision de la réussite,
Se réaliser et s’épanouir au service des autres plutôt que de glorifier la fortune construite.
Il est venu le temps de voir la planète comme notre bien commun
Parce que un est tout et tout n’est qu’un.
Il est venu le temps de se poser les bonnes questions,
L’introspection nous amène forcément vers des illuminations.
Il est venu le temps d’en finir avec le déni,
On ne vit pas plus heureux dans un faux monde que l’on s’est construit.
Il est venu le temps de l’empathie,
Cette vertu qui se meurt et qui nous éviterait bien des chamailleries.
Il est venu le temps de l’égalité,
La fin des privilégiés et des persécutés.
Il est venu le temps de la sagesse,
Celle qui enveloppe l’intelligence et que l’on développe bien avant la vieillesse.
Il est venu le temps de repenser notre lien social,
Cette quête de l’approbation extérieure par le digital devient infernale.
Il est venu le temps de réinventer notre éducation,
Former des citoyens éveillés et non pas des outils de production.
Il est venu le temps de vivre autrement,
Prospérer dans la sobriété plutôt que de consommer abusivement.
Il est venu le temps de respecter le vivant,
Celui que l’on traite avec mépris dans notre position de dominant.
Il est venu le temps de l’humilité,
Face à cette nature si vaste et notre compréhension si limitée.
Il est venu le temps de démystifier la croissance,
Elle qui se veut infinie et qui détruit nos ressources avec fulgurance.
Il est venu le temps de nourrir notre conscience,
Car si elle manque elle n’est que ruine de l’âme nous dit la science.
Il est venu le temps de redonner des moyens à la santé,
Eriger la vie comme foi loin de la loi du marché.
Il est venu le temps de rompre avec nos premiers de cordée, l’économie et l’emploi ne laveront pas leurs mains ensanglantées.
Il est venu le temps du contre-pouvoir,
Redonner aux médias de l’indépendance et au peuple sa capacité à croire.
Il est venu le temps de questionner nos religions,
As-t-on besoin d’elles pour incarner nos propres convictions ?
Il est venu le temps de mettre à bas les puissants,
Ceux qui contrôlent l’argent et qui choisissent nos futurs dirigeants.
Il est venu le temps du peuple souverain,
Car l’illusion du choix ne donne aucun sens à nos bulletins.
Il est venu le temps des banques publiques,
Bienveillantes, transparentes et résolument éthiques.
Il est venu le temps des prises de responsabilités,
Incarner ses désirs et ses valeurs sans être dans l’attente de la majorité.
Il est venu le temps de redonner du sens aux mots,
Ceux que nos politiques ont transformés pour justifier bien des maux.
Il est venu le temps d’aiguiser son sens critique,
Compétence indispensable dans un monde médiatique à la pensée unique.
Il est venu le temps d’en finir avec la corruption,
Tous ces lobbies qui agissent dans l’ombre sont de vrais poisons.
Il est venu le temps de repenser notre agriculture,
Redonner à la terre sa force et reprendre le contrôle de notre nourriture.
Il est venu le temps de la jeunesse,
Celle qui n’attend pas qu’on décide à sa place sur de belles promesses.
Il est venu le temps de la désobéissance civile et de la protestation,
Face à un gouvernement qui est devenu maitre de l’inaction et de la répression.
Il est venu le temps où la police doit s’élever,
Bras armé d’un pouvoir politique paniqué bien loin du gardien de la paix.
Il est venu le temps de la tolérance,
Que tout un chacun prenne conscience de la richesse de nos différences.
Il est venu le temps d’instaurer le bonheur comme principal indicateur,
Dans des pays où le PIB et la productivité jouent le rôle d’asservisseur.
Il est venu le temps de déconfiner les corps et les esprits,
Le jour d’après ne peut pas être le jour d’avant à l’infini.
Il est venu le temps de remuer ce monde et caresser l’espoir,
Après tout à vaincre sans périls on triomphe sans gloire.
Maxime Goven.
La mystique de Kévin Boitel
Du fantasme à l'ivresse, Frénétique tendresse, Mon cher amour pour elle Semble presque irréel. Cette union si mystique, Cette ardeur chimérique, Me comble, me plait tant. Elle m'a rendu fervent. La beauté de ses gestes, Ses manières célestes, Aussi nobles qu'elles soient, Viennent de l'au-delà. Dans sa voix, la douceur, Dans ses bras, la chaleur; Berçantes et lyriques. Romantisme utopique. Je rêve souvent d'elle : Bénédiction charnelle. Et elle pose ses lèvres Sur mon corps; chaude fièvre. Envoûté, je ressens D'éternels sentiments. Véritable songerie, À jamais je suis pris. Car l'amour, car les coeurs, Fameux adorateurs, Gardiens des souvenirs, Préservent les plaisirs.La houle de Kévin Boitel
Souvent, aux jours d'été, en plein air je m'allonge, Et perçant les nuages, mon regard s'élonge. Le bleu profond du ciel m'emporte, me replonge Dans ce monde utopique d'espoir et de songes. Sur le sable embrasé, je la revois encore. Son doux sourire n'a d'égal aucun trésor : L'univers tout entier jalousait son cher corps, Sa chaude présence valait plus que de l'or. Je repense alors aux souvenirs éternels, À ses yeux rayonnants, à sa voix si sensuelle, À nos ris concordants, à nos corps qui s'emmellent, À ce goût de l'amour que j'éprouvais pour Elle. Mais ses noirs mensonges, limpides adultères, Absorbants la lueur, ont brisé la chimère. La passion s'est noyé, s'est hissé la colère, Et le goût de l'amour est devenu amer. Désinvolte, elle m'a fui. Me voilà ésseulé. Le temps s'est écoulé, mon bonheur écroulé, Je ne parviens fatalement à l'oublier, Adonc, je pleure en secret nos coeurs écroués.Une princesse dans le train de Patrick Guichard
Une princesse dans le train...
Dans le couloir du train, je voyageais de nuit,
Jeune militaire, je n’attendais rien de ce long voyage,
Et voilà que cette jeune femme est tout à coup apparue,
Une jeune femme pas comme les autres, mystérieuse, elle m’a plu,
Mon cœur s’est arrêté quand nos regards se sont croisés,
Un regard si intense et profond qui m’a transpercé,
J’ai pu voir dans ses yeux la terre et les cieux, elle aussi était bouleversée,
Je ne savais plus quoi faire, plus quoi penser, j’étais submergé,
Ces yeux bleus ont caressé mon âme et m’a fait chavirer,
Renversé par une vague de mélodie et d’amour,
C’était comme si elle et moi, nous nous connaissions depuis toujours,
Ce train était notre lieu de rendez-vous,
J’ai regardé son beau visage et ses longs cheveux soyeux,
Il émanait de sa peau un doux parfum d’été,
J’ai respiré son odeur pour en être exalté,
Je suis tombé à la renverse transporté,
Elle s’approcha de moi et son corps frôla le mien,
Je ne comprenais plus rien, c’était irréel mais tellement bien,
Elle me demande s'il y a de la place dans le compartiment,
D'une voix suave et sensuelle, qui sonne à mes oreilles,
C’est à moi qu’elle s’adresse, je suis électrisé, je crois rêver,
Cette jeune femme du train m’a dérouté,
Sur les rails de la passion je me consume,
Je l’aide à s’installer en portant sa valise, elle me remercie,
Sa voix résonne encore en moi comme une douce musique,
Je suis séduit,
Puis avec grâce elle s'assied, j’ai le souffle coupé,
Tous ces gestes sont si légers,
On dirait un ange descendu du ciel, qui porte la bonne nouvelle,
Je n’ose pas rester près d’elle, elle est tellement belle,
Encore plus belle qu’une hirondelle, qui vole dans le ciel,
Je repars dans le couloir du train, je ne parviens plus à respirer,
Je ne comprends pas ce qui est en train de m’arriver,
Irrésistiblement, je ne peux m’empêcher de la regarder,
Voilà que de nouveau nos regards se croisent,
Mon cœur s’envole, ses yeux sont plongés dans les miens,
Je suis attiré, enchanté,
A côté d’elle la place est libre, je m’assoie sans faire de bruit,
Elle s’est endormie, elle est si belle, je retiens mon souffle,
Ce train Bordeaux-Paris est devenu féérique,
Dans notre compartiment il y a un arc en ciel,
Je suis épris de cette jeune femme à la beauté de la nuit, qui m'émerveille,
Je ferme les yeux, je me laisse bercer par le bruit du train qui chante,
Tout mon être est en émoi,
Je prie pour que ce train jamais ne s’arrête,
Je pose ma tête doucement sur son épaule,
Les yeux fermés je vis un rêve éveillé,
Puis tendrement, elle prend ma main dans la sienne,
Je ne peux plus bouger, je suis paralysé de l’aimer,
Nous restons comme ça immobile blottit l’un contre l’autre,
Nous ne pouvons rien y faire, autour de nous plus rien n’a d’importance,
C’est comme ça, il n’y a plus qu’elle et moi au monde,
Je ressens sa chaleur qui m’envahit, je suis conquis,
Nous nous sommes regardés et nos yeux scintillent du désir de l’autre,
Résister au supplice de succomber, nous étions sur un nuage de volupté,
J’avais follement envie de l’embrasser, elle aussi,
Elle m’a enlacé, assis entremêlés, ma tête reposée sur son épaule si douce,
Je suis subjugué,
J’entends mon cœur battre affolé au même rythme que le sien,
Je sais que c’est avec elle que je veux vivre pour l’éternité,
C’est notre destinée,
Je me réveille, je suis tout contre elle, avec sa main dans la mienne,
Nous sommes restés ainsi toute la nuit, aimantés,
Je suis fasciné,
Le jour c’est levé, la lumière est entrée,
Elle illumine son beau visage, sa silhouette élancée et ses yeux de toutes beautés,
Elle est encore plus belle que ce que j’avais imaginé,
Le train c’est arrêté, à Paris nous sommes arrivés,
Je prends sa valise et nous marchons ensemble, jusqu'au métro,
Elle me dit alors qu’elle doit prendre une correspondance,
Elle habite dans le Nord, elle a le cœur si chaud,
Elle écrit sur un bout de papier son prénom et son téléphone,
Je lui dis à mon tour comment je m’appelle,
Elle me regarde alors avec ses grands yeux bleus,
Elle me dit j'ai 19 ans, je lui réponds moi aussi,
Nos mains ne peuvent plus se détacher, on n’arrive plus à se séparer,
Nos deux cœurs sont à jamais liés,
Elle me supplie de lui téléphoner, pour continuer ce merveilleux voyage,
Au pays des amoureux,
Debout sur le quai je suis attristé, je la regarde s’éloigner, je suis dévasté,
Elle se retourne une dernière fois, elle recherche mon regard, nous sommes déchirés,
Elle me voit encore au loin, elle lève la main et je lui crie au revoir,
Bientôt je te rappellerai, j’ai son numéro,
Cet amour est si fort entre elle et moi, que rien ne pourra le détruire,
Un amour éternel malgré le temps et les années,
Elle n’est plus un mystère, juste pour moi elle s’est dévoilée,
Et nos âmes ont fusionné pour toujours nous aimer,
Même loin l'un de l'autre, nous sommes pourtant si proche,
Chaque jour qui passe nous ne faisons plus qu'un,
Je ne me lasse pas de toi, nous nous appartenons,
Et chaque nuit je l'attends pour rêver d'elle,
Ma princesse du train m'a retrouvé, pour ne plus jamais se quitter,
C'est comme dans un conte de fée,
Je rêve d'un jour ou je pourrais, la prendre dans mes bras ,
l'embrasser tendrement, sur ces lèvres parfumées,
Nos corps enlacés l'un contre l'autre, qui dansent dans la nuit infinie,
De nos baisers enflammés qui nous pénètrent,
Dans la béatitude nous volerons ensemble jusqu'au Paradis...
ETATS D'AME D'UN VELO CONFINE de VIOU
Gérante d'un magasin de vélo hollandais, le confinement de mes vélos m'a inspiré ce poème sans prétention :
ETATS D’AME D’UN VELO CONFINE
Posé là !
A perpétuité dans la pénombre d’une prison
Au milieu d’une rangée de tulipes
Ecran de lumière.
Où sont passées ces voix,
Ces caresses affectueuses
Mes acolytes,
Parfois rivaux sont muets
Des taiseux bien de chez nous.
Quelque chose cloche.
Tout ce parcours à la recherche
des chemins de traverse
Trouver fesses à ma selle,
Prendre mon envol,
Guidon vivant, vent en poupe
Je suis prêt à affronter
Les pluies diluviennes
Les soleils brûlants
Je suis né il y a peu, tout au nord
Dans un pays où les « r » s’envolent
Des gorges initiées dès l’enfance
Ou le coup de pédale s’apprend
Avant même de mettre un pied devant l’autre
J’ai été calibré pour le plat pays
Motorisé,
On a préféré m’envoyer
Dans un pays vallonné
Je me souviens
D’un voyage houleux, d’un noir profond,
De chahutements, de chuchotements,
De cris parfois
La peur et l’excitation s’emmêlaient
Dans mes rayons tremblants
Je suis né une deuxième fois …
Sorti d’un ventre cartonné
Avec précaution
Des mains chaudes,
Rassurantes
Fermes et solides m’ont cajolées
Je me suis mis à briller
Nez aux carreaux,
Star parmi les tsars
Quelques temps assoupi
Puis réveillé
De nouveau enrobé
Par une nuit irriguée
De brèves lumières
Mon cadre, mes roues s’enlisent …
Suis-je seul à épier l’amorce
D’une présence,
D’un bruit intime
De matins chantants …
Sylvie.K
La gérante
Matryoshka de Oriada Dajko
Dans votre monde, à l'intérieur de votre pays, dans votre ville, à l'intérieur de votre maison, dans votre famille ... ... des étrangers sont venus. Même à l'intérieur de vous ... La langue n'a jamais été trouvée.Croisade de Bryan Remacle
de Morian TSAGUE
La GERREPOÈME SUR LA POLLUTION DE L-EAU de JINIOR
POÈME SUR LA POLLUTION DE L,EAUamour avouée de bukuna
je l'avoue;
tu es la seule,
la plus belles,
la plus brillantte,
la plus radieuse,
je t'aime ivete
amour avouée de bukuna
je l'avoue;
tu es la seule,
la plus belles,
la plus brillantte,
la plus radieuse,
je t'aime ivete
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La poésie, comme Dieu, comme l'amour, n'est que foi.