Poème les+veterinaires - 1 Poèmes sur les+veterinaires

1 poème


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : éléis élidé élis élit élu éludé élue élues élus élut élût hâla hâlai hâlais hâlait hâlas hâlât hâle hâlé hâlée hâlées hâles hâlés héla hélai hélais hélait hélas hélât hèle hélé hélée hélées hèles hélés île îles îlot l la là là-haut laça laçai laçais laçait laças laçât lad lady lai laid laie laies lais lait laité laïus Laos las lat le lé Léa lei les lès lés lésé let leu li lia liai liais liait lias liât lie lié lied liée liées lies liés lieu lieue lieues lieus lilas lis lit lité loi lois lolo lolos Lot lot loua louai louais louait louas louât loue loué louée louées loues loués Louis louis loulou loulous lu lue lues lui luis luit lulu lulus lus lut lût luté luth lys lysé éviteraient évitèrent éviterions éviterons éviteront vautraient vautrant vautrent vautreraient vautrèrent vautrerions vautrerons vautreront vautrions vautrons vétéran vétérans vétérinaire vétérinaires vêtiraient vêtirent vêtirions vêtirons vêtiront vitraient vitrant vitrent vitreraient vitrèrent vitrerions vitrerons vitreront vitrine vitrines vitrions vitrons vivoteraient vivotèrent vivoterions vivoterons vivoteront voituraient voiturant voiturent voitureraient voiturèrent voiturerions voiturerons voitureront voiturin voiturins voiturions voiturons voteraient votèrent voterions voterons voteront voûteraient voûtèrent voûterions voûterons voûteront ...

Pourquoi les boeufs traînent-ils les vieux chars pesants ?
Cela fait pitié de voir leur gros front bombé,
leurs yeux qui ont l'air de souffrance de tomber.
Ils font gagner le pain aux pauvres paysans.

S'ils ne peuvent plus marcher, les vétérinaires
les brûlent avec des drogues et des fers rouges.
Et puis dans les champs pleins de coquelicots rouges
les boeufs vont encore herser, racler la terre.

Il y en a qui se casse un pied quelquefois;
alors on tue celui-là pour la boucherie,
pauvre boeuf qui écoutait le grillon qui crie

et qui était obéissant aux rudes voix
des paysans qui hersaient sous le soleil fou,
pauvre boeuf qui allait il ne savait où.
Pourquoi les boeufs
Poèmes de Francis Jammes

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