Poème vie+apprend - 3 Poèmes sur vie+apprend

3 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : évadé évasé évidé évité évohé hâve hâves hévéa hévéas va vais vas vau Vaud vaut veau vêt veut veuve veuves via vidé vie vies vis visé vit vît vivais vivait vivat vive vives vivoté voeu voie voies vois voit vos voté voua vouai vouais vouait vouas vouât voue voué vouée vouées voues voués vous voûté vouvoie vouvoies vs vu vue vues vus Vve Yves aepyornis aperçurent apeuraient apeurant apeurent apeureraient apeurèrent apeurerions apeurerons apeureront apeurions apeurons appairaient appairant appairent appaireraient appairèrent appairerions appairerons appaireront appairions appairons apparence apparences apparent apparentâmes apparentassiez apparentassions apparentâtes apparente apparenté apparentée apparentées apparentement apparentements apparenter apparenterez apparenteriez apparenterions apparenterons apparentes apparentés apparentez apparentiez apparentions apparentons apparents appariaient appariant apparient apparieraient apparièrent apparierions apparierons apparieront appariions apparions apparurent appréhenda appréhendai appréhendaient appréhendais appréhendait appréhendâmes appréhendant appréhendas appréhendasse appréhendassent appréhendasses appréhendassiez appréhendassions appréhendât appréhendâtes appréhende appréhendé appréhendée appréhendées appréhendent appréhender appréhendera appréhenderai appréhenderaient appréhenderais appréhenderait appréhenderas appréhendèrent appréhenderez appréhenderiez appréhenderions appréhenderons appréhenderont appréhendes appréhendés appréhendez appréhendiez appréhendions appréhendons appréhensif appréhensifs appréhension appréhensions appréhensive appréhensives apprenaient apprenais apprenait apprenant apprenante apprenantes apprenants apprend apprendra apprendrai apprendraient apprendrais apprendrait apprendras apprendre apprendrez apprendriez apprendrions apprendrons apprendront apprends apprenez appreniez apprenions apprenne apprennent apprennes apprenons apprenti apprentie apprenties apprentis apprentissage apprentissages apprirent appuieraient appuierions appuierons appuieront apuraient apurant apurent apureraient apurèrent apurerions apurerons apureront apurions apurons happeraient happèrent happerions happerons happeront hipparion hipparions houpperaient houppèrent houpperions houpperons houpperont ...

Je t'aime pour toutes les femmes
Que je n'ai pas connues
Je t'aime pour tout le temps
Où je n'ai pas vécu
Pour l'odeur du grand large
Et l'odeur du pain chaud
Pour la neige qui fond
Pour les premières fleurs
Pour les animaux purs
Que l'homme n'effraie pas
Je t'aime pour aimer
Je t'aime pour toutes les femmes
Que je n'aime pas

Qui me reflète sinon toi-même
Je me vois si peu
Sans toi je ne vois rien
Qu'une étendue déserte
Entre autrefois et aujourd'hui
Il y a eu toutes ces morts
Que j'ai franchies
Sur de la paille
Je n'ai pas pu percer
Le mur de mon miroir
Il m'a fallu apprendre
Mot par mot la vie
Comme on oublie

Je t'aime pour ta sagesse
Qui n'est pas la mienne
Pour la santé je t'aime
Contre tout ce qui n'est qu'illusion
Pour ce cœur immortel
Que je ne détiens pas
Que tu crois être le doute
Et tu n'es que raison
Tu es le grand soleil
Qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi
Quand je suis sûr de moi

Tu es le grand soleil
Qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi
Quand je suis sûr de moi
Je t'aime
Poèmes de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard

Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard

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Sur la branche d'un arbre était en sentinelle
Un vieux coq adroit et matois.
" Frère, dit un renard adoucissant sa voix,
Nous ne sommes plus en querelle :
Paix générale cette fois.
Je viens te l'annoncer ; descends, que je t'embrasse.
Ne me retarde point, de grâce ;
Je dois faire aujourd'hui vingt postes sans manquer.
Les tiens et toi pouvez vaquer,
Sans nulle crainte, à vos affaires ;
Nous vous y servirons en frères.
Faites-en les feux dès ce soir,
Et cependant viens recevoir
Le baiser d'amour fraternelle.
- Ami, reprit le coq, je ne pouvais jamais
Apprendre une plus douce et meilleure nouvelle
Que celle
De cette paix ;
Et ce m'est une double joie
De la tenir de toi. Je vois deux lévriers,
Qui, je m'assure, sont courriers
Que pour ce sujet on envoie :
Ils vont vite, et seront dans un moment à nous.
Je descends : nous pourrons nous entre-baiser tous.
- Adieu, dit le renard, ma traite est longue à faire,
Nous nous réjouirons du succès de l'affaire
Une autre fois. " Le galand aussitôt
Tire ses grègues, gagne au haut,
Mal content de son stratagème.
Et notre vieux coq en soi-même
Se mit à rire de sa peur ;
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
Le Coq et le Renard
Poèmes de Jean de La Fontaine

Citations de Jean de La Fontaine

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