Poème detresse - 8 Poèmes sur detresse

8 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : détériorasse détériorassent détériorasses détériorassiez détériorassions déterrasse déterrassent déterrasses déterrassiez déterrassions détersif détersifs détersion détersions détersive détersives détirasse détirassent détirasses détirassiez détirassions détourasse détourassent détourasses détourassiez détourassions détressa détressai détressaient détressais détressait détressâmes détressant détressas détressasse détressassent détressasses détressassiez détressassions détressât détressâtes détresse détressé détressée détressées détressent détresser détressera détresserai détresseraient détresserais détresserait détresseras détressèrent détresserez détresseriez détresserions détresserons détresseront détresses détressés détressez détressiez détressions détressons détroussa détroussai détroussaient détroussais détroussait détroussâmes détroussant détroussas détroussasse détroussassent détroussasses détroussassiez détroussassions détroussât détroussâtes détrousse détroussé détroussée détroussées détroussent détrousser détroussera détrousserai détrousseraient détrousserais détrousserait détrousseras détroussèrent détrousserez détrousseriez détrousserions détrousserons détrousseront détrousses détroussés détrousseur détrousseurs détrousseuse détrousseuses détroussez détroussiez détroussions détroussons détruisîmes détruisît détruisîtes ...

Pourquoi ce besoin fort et triste
De voir haleter et languir
Dans la détresse du plaisir
Le corps rêveur que l'on assiste ?

Espère-t-on ainsi capter
La part de l'âme inviolable,
Et voler, par la volupté,
A l'être épars et dévasté,
Sa solitude insaisissable ?

Ah! pouvoir excéder mes droits,
Pouvoir te dérober dans l'ombre
Ton secret, tes forces, tes lois,
Et sentir que ton désarroi
Appartient à mon âme sombre
Plus que je n'appartiens à toi !

Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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Tu as ta force, j'ai ma ruse;
Ta force est d'être ce que j'aime,
Elle est dans ta faiblesse même.
- Mais parfois mon instinct plaintif
Écoute d'un coeur attentif
Ma passion pour toi qui s'use.

Tu ne peux t'en douter, sachant
Qu'on n'épuise jamais mon âme,
Tu n'entends pas mon secret blâme,
Ni ce léger chant triomphant
D'une ardeur que le temps entame.
Tu restes calme et confiant.

- Mais moi, épiant ma détresse,
Je perçois jusqu'au battement
Plus délicat de mon ivresse;
Je goûte, - lourde et sans tourment, -
Une consolante paresse.

- Ah ! si je pouvais oublier
Ces instants courts, rares, extrêmes,
Où, mes doigts à tes bras liés,
Je poursuis en ton coeur pillé
Je ne sais quel plus pur moi-même,

Je déferais mon coeur du tien,
Et, recouvrant mon amplitude,
J'irais vers cette solitude
En qui tout être m'appartient !...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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