Poème flott - 12 Poèmes sur flott

12 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : éfaufilâtes faillâtes faillite faillites faillîtes falote falotes falots faufilâtes fêlâtes feuillâtes feuilleta feuilletai feuilletais feuilletait feuilletas feuilletât feuilletâtes feuilletée feuilletées feuilletés feuilletis feuilletisé feuillets feuillette feuillettes feulâtes filâtes fileta filetai filetais filetait filetas filetât filetâtes filète filetée filetées filetés filètes filets fillette fillettes filouta filoutai filoutais filoutait filoutas filoutât filoutâtes filoute filoutée filoutées filoutes filoutés flatta flattai flattais flattait flattas flattât flatte flatté flattée flattées flattes flattés flette flettes flots flotta flottai flottais flottait flottas flottât flotte flotté flottée flottées flottes flottés flouâtes fluate fluates fluâtes fluets fluette fluettes flûta flûtai flûtais flûtait flûtas flûtât flûtâtes flûte flûteau flûtée flûtées flûtes flûtés foliota foliotai foliotais foliotait foliotas foliotât foliotâtes foliote foliotée foliotées foliotes foliotés foliots follets follette follettes fouaillâtes fouillâtes foulâtes pholiote pholiotes ...

Le bonheur d'aimer est si fort,
Étant seul la négation
Du quotidien et de la mort,
Que je n'ai, dans ma passion,

Dans cet amour que je ressens,
Vraiment jamais rien désiré,
Rien attendu, rien espéré,
Que mon désir éblouissant !

Vent pur des nuits suave abondance, moisson !
Flots d'air frais arrachés aux golfes des étoiles,
Espace palpitant qui fais comme une voile
Se gonfler dans mon coeur les rêves et les sons,

Pénétrez dans la chambre ennemie où repose
Le trésor éclatant d'un beau corps soucieux,
Et ramenez vers moi, plus parfait que la rose,
Le bleuâtre parfum qui flotte sur ses yeux !
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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De ta robe à longs plis flottants
Ruissellent toutes les chimères,
Et tu m’apportes le printemps
Dans tes mains blondes et légères.

J’ai peur de ce frisson nacré
De tes frêles seins, je ne touche
Qu’en tremblant à ton corps sacré,
J’ai peur du charme de ta bouche.

Je me sens grandir jusqu’aux Dieux
Quand, sous mon orgueilleuse étreinte,
Le doux bleu meurtri de tes yeux
S’évanouit, fraîcheur éteinte.

Mais quand, si blanche entre mes bras,
À mon cri d’amour qui se pâme
Tu souris et ne réponds pas,
Tes yeux fermés me glacent l’âme…

J’ai peur - c’est le remords spectral
Que l’extase ne saurait taire
De t’avoir peut-être fait mal
D’une caresse involontaire.
Chanson
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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