Poème Tral - 3 Poèmes sur Tral

3 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : étrilla étrillai étrillais étrillait étrillas étrillât étrille étrillé étrillée étrillées étrilles étrillés terril terrils téterelle téterelles théâtral théâtrale théâtrales théâtralisé théâtralité tirailla tiraillai tiraillais tiraillait tiraillas tiraillât tiraille tiraillé tiraillée tiraillées tirailles tiraillés tire-lait Torelli toril torils touraille tourailles tourelle tourelles traille trailles tralala tralalas treille treilles treillis treuil treuilla treuillai treuillais treuillait treuillas treuillât treuille treuillé treuillée treuillées treuilles treuillés treuils trial trials trilla trillai trillais trillait trillas trillât trille trillé trilles triol triolet triols troll trolle trolles trolls trouille trouilles truelle truellée truellées truelles trulli trullo tutoriel tutoriels ...

Telle de l'Angelus, la cloche matinale
Fait dans les carrefours hurler les chiens errants,
Tel ton luth chaste et pur, trempé dans l'eau lustrale,
Ô George, a fait pousser de hideux aboiements,

Mais quand les vents sifflaient sur ta muse au front pâle,
Tu n'as pu renouer tes longs cheveux flottants ;
Tu savais que Phébé, l'Étoile virginale
Qui soulève les mers, fait baver les serpents.

Tu n'as pas répondu, même par un sourire,
A ceux qui s'épuisaient en tourments inconnus,
Pour mettre un peu de fange autour de tes pieds nus.

Comme Desdémona, t'inclinant sur ta lyre,
Quand l'orage a passé tu n'as pas écouté,
Et tes grands yeux rêveurs ne s'en sont pas douté.
A George Sand (II)
Poèmes de Alfred de Musset

Citations de Alfred de Musset

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De ta robe à longs plis flottants
Ruissellent toutes les chimères,
Et tu m’apportes le printemps
Dans tes mains blondes et légères.

J’ai peur de ce frisson nacré
De tes frêles seins, je ne touche
Qu’en tremblant à ton corps sacré,
J’ai peur du charme de ta bouche.

Je me sens grandir jusqu’aux Dieux
Quand, sous mon orgueilleuse étreinte,
Le doux bleu meurtri de tes yeux
S’évanouit, fraîcheur éteinte.

Mais quand, si blanche entre mes bras,
À mon cri d’amour qui se pâme
Tu souris et ne réponds pas,
Tes yeux fermés me glacent l’âme…

J’ai peur - c’est le remords spectral
Que l’extase ne saurait taire
De t’avoir peut-être fait mal
D’une caresse involontaire.
Chanson
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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