Poème affable - 1 Poèmes sur affable

1 poème


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : affabilité affabilités affable affablement affables affabula affabulai affabulaient affabulais affabulait affabulâmes affabulant affabulas affabulasse affabulassent affabulasses affabulassiez affabulassions affabulât affabulâtes affabulation affabulations affabule affabulé affabulée affabulées affabulent affabuler affabulera affabulerai affabuleraient affabulerais affabulerait affabuleras affabulèrent affabulerez affabuleriez affabulerions affabulerons affabuleront affabules affabulés affabulez affabuliez affabulions affabulons affaibli affaiblie affaiblies affaiblîmes affaiblir affaiblira affaiblirai affaibliraient affaiblirais affaiblirait affaibliras affaiblirent affaiblirez affaibliriez affaiblirions affaiblirons affaibliront affaiblis affaiblissaient affaiblissais affaiblissait affaiblissant affaiblissante affaiblissantes affaiblissants affaiblisse affaiblissement affaiblissements affaiblissent affaiblisses affaiblissez affaiblissiez affaiblissions affaiblissons affaiblit affaiblît affaiblîtes affubla affublai affublaient affublais affublait affublâmes affublant affublas affublasse affublassent affublasses affublassiez affublassions affublât affublâtes affuble affublé affublée affublées affublement affublements affublent affubler affublera affublerai affubleraient affublerais affublerait affubleras affublèrent affublerez affubleriez affublerions affublerons affubleront affubles affublés affublez affubliez affublions affublons ...

L'orgueil est l'ennemi constant
De l'amour et de ses largesses;
Fort comme la vie, il attend
Que l'on retourne à sa noblesse.

Il veille sur tout l'abandon,
Sur tout le divin esclavage;
Il n'accorde pas son pardon
Au clair flamboiement des visages,

- Aux visages lavés de pleurs,
À ces larmes froides et rondes
Qui ne sont pas de la douleur,
Mais l'éblouissement du monde !

- Certes, il est dur de quitter
Cet orgueil prudent, fort et triste,
Qui, repoussant la volupté,
Fait croire à l'âme qu'elle existe;

Mais à cause de cet effort
Par qui tout l'être se surmonte,
Par ce consentement de mort,
Il est beau d'accepter la honte.

- Je voudrais ne plus rien tenir
Que de ton affable puissance,
Ne respirer, ne me nourrir
Qu'au doux gré de ta complaisance.

Qu'il serait bon, ce dénuement,
Au coeur royal que l'on détrône,
Et qui vécut trop fièrement !
- Être sans pain, sans vêtement,
Et dans un tendre abaissement
En recevoir de toi l'aumône...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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