Poème de pericles60


de pericles60

De mes obscurs chagrins

Je garde un fardeau dans mon cœur et mon âme

J’en ai fais mon malheur et ma souffrance

J’avais gravé ce cœur sur ma peau au fer rouge

Pourtant on se résigne un jour en signe d’un au revoir

De se faire petit même a s’effacé

Je me sens ci lâche d’avoir abandonné

Pas que je ne l’aimé pas, mais juste peur de souffrir chaque jours

J’agonise en silence pour ne pas éveillé les soupçons.

Je me suis condamné a airé entre deux monde

Sans trouvé un répit je reste un prisonnier de mon passé

Je me suis échoué et j’ai perdu pied

Leurré par ange ou plutôt par un démon

Dans mes brèves accalmies mon cœur repose sur un simple geste

J’apprends que chaque mots peuvent contrer chaque maux

Pourtant chaque pensées ces mots te fond replongés

Si vide et si triste j’en deviens livide

Je n’ai plus qu’un seul but oublier ou m’endormir  pour toujours.

J’écris c’est quelques phrases pour évacué mon malheur et ma peine

Je te pleure et toi tu dois en rire m’ayant oublié depuis longtemps.

Pourtant je t’aurais donné ma vie.

A ce jour je te hais aussi fort que je t'aime