Poème de Khalid EL Morabethi


OCT 16 ( Khalid EL Morabethi ) ( Une lueur , un c de Khalid EL Morabethi

Une lueur, un cri. Il était une fois un homme sur un banc toujours assis Dans un beau jardin plein de belles fleurs Toujours la, mais son cœur, son âme, son esprit étaient ailleurs L’homme aux yeux noirs songeait à toutes les belles choses qui l’entouraient Il avait ce sourire même s’il était si faible et déprimé Il pensait à sa fille Leila qui l’avait quitté Il pensait à l’espoir qui est parti sans se soucier de ce qui peut lui arriver. Une lueur, un appel Il appelle sa mère qui est partie le jour de sa naissance L’homme, le vieillard appelle ses espérances Dans un monde infernal, il est demeuré seul Un appel à la belle vie qui est partie très loin de son univers froid La nuit, il a pris l’habitude de se diriger vers l’oubli et jusqu\'à l’ivresse il boit. Un hurlement, un rêve L’esprit de l’enfant attendait le retour de ses parents Il voulait être content Il attendait juste leurs amours Mais elles sont parties pour toujours Un départ sans retour. Une lueur, un cri L’homme sur un banc toujours assis Il se demandait, pourquoi les fantômes du mal ont hantés sa vie ? Pourquoi sa vie dans une tempête avait sombré ? Pourquoi son corps dans cette petite cage sans porte a été enfermé ? Des lames de sang et des appels Après la prière, il appelle son unique ciel Son unique appui, sa seule raison, sa vie Dieu … l’amour, le bonheur et le fidèle ami Dieu… Qui n’abandonne personne Qui pardonne. Une douce mélodie Une voix charmante d’une ravissante sirène à l’intérieur du paradis Son parfum flottait dans l’air Elle lance son rayon et le côté ténébreux s’éclaire Sa voix audacieuse a apporté le printemps à une terre qui souffrait dans l’obscurité A l’intérieur du paradis près de l’arbre interdit, elle chantait. Une lueur, un cri La nuit, à la maison les cierges s’allument Le sage prend enfin sa plume Il revient avec sa mémoire en arrière Ecrivant son enfance et la rivière Ou tous ses rêves étaient noyés Noyés. La lune, le soir, un sourire, des yeux fermés C’était lui et moi Un hôpital, une chambre blanche et un lit Il ouvrit ses yeux et il m\'a souri C’était son dernier silence C’était ma dernière mélodie silencieuse. Khalid EL Morabethi Maroc / Oujda 10/7/1994 [email protected] faculté mohammed 1 oujda lettre Tout droit réservé