Poème de Thywaz


de Thywaz

Si les Arbres chantaient, tu serais le Vent qui les entraîne
Si les Dunes brûlaient, tu serais la Mer qui les éteint
Si les Nuages approchaient, tu serais la Montagne qui les freine
Si les Bêtes rodaient, tu serais le Feu qui les contient
Si le Soleil disparaissait, tu serais la Lumière qui nous guide
Si les Etoiles nous aveuglaient, tu serais le Manteau qui les éclipse
Si le Neant régnait, tu serais notre plus grande Egide
Si la Vie mourrait, de la Mort tu serais l'ellipse
Si de tous ces Elements tu n'es pas l'Engeance
Comment pourrais-tu Rythmé, de mon Coeur, la Cadence ?