Poème non+morte - 14 Poèmes sur non+morte

14 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : âne ânes ânon ânons énonça énonçai énonçais énonçait énonças énonçât énoua énouai énouaient énouais énouait énouant énouas énouât énoue énoué énouée énouées énouent énoues énoués énouions énouons hyène hyènes knout n N.-D N.T na nain naine naines nains nais naît nana nanas naos ne né néant née nées néné nénés nénies néo néon néons nés net ni nia niai niaient niais niaisé niait niant nias niât nid nie nié niée niées nient nies niés niions Nina ninas nions no nô noeud noie noient noies non none nones nos noté noua nouai nouaient nouais nouait nouant nouas nouât noue noué nouée nouées nouent noues noués nouions nounou nounous nouons nous nu nua nuai nuaient nuais nuait nuança nuançai nuançais nuançait nuanças nuançât nuant nuas nuât nue nué nuée nuées nuent nues nués nui nuions nuis nuit nuons nus Nyons émérite émérites émirats mahratte mahrattes mariâtes Mariette marotte marottes marouette marouettes maroute maroutes marrâtes marte marteau martes Marthe mérita méritai méritais méritait méritas méritât méritâtes mérite méritée méritées mérites mérités meurette meurettes mirâtes mirettes miroita miroitai miroitais miroitait miroitas miroitât miroitâtes miroite miroitée miroitées miroites miroités moirâtes Morita mortaisé morte morte-eau mortes morts mourûtes murâtes murets murette murettes muriate muriates mûrîtes myrte myrtes ...

Tant aimer! Non, aucun orgueil
Ne me soulève cette fois !
Hermione aux cris de chevreuil,
Phèdre hantant les rocs, les bois,
Me sont de détestables soeurs !
La sérénité, la douceur,
Les calmes jours, leurs purs trésors,
Surpassent ces mortels transports !
- D'où nous viendrait cette fierté
D'avoir atrocement goûté
Au sombre suc de la Nature ?
- Ô Raison! sache nous blâmer !
Réprouve les coeurs affamés,
Dis-le! pour que la créature
Renonce à l'humaine pâture !

Il est honteux de tant aimer !...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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Répands sur mon front d’insomnie
Tes cheveux d’aurore et de joie,
O toi, ma tendresse infinie,
Avril, mon printemps, mon amour !

Quoi de plus tendre et de plus beau
Que de voir, miracle suprême !
Des roses naître du tombeau !
Cela s’est fait, puisque je t’aime.

Dans mon âme, où l’angoisse est morte,
Le souvenir est effacé…
Donne-moi tes lèvres ! qu’importe
La douleur que fut le passé !

L’oubli me sourit dans tes yeux
Et je dis à la vie en larmes
Un grand hommage silencieux
Car elle a de suprêmes charmes.

Car j’ai, dans ma pauvre existence,
Parmi les jours où j’ai pleuré,
Quelque chose de doux, d’immense,
De lumineux et de sacré !

C’est pour cela que je bénis
Non seulement toi, ma très blonde,
Mais aussi les temps infinis,
L’espace et les cieux et le monde !

J’ai compris quelle aube suprême
Se lève sur le grand néant,
Et qu’on espère, et que l’on aime
Et que l’on meurt en souriant !
À mon Avril
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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