Poème vie+parent - 8 Poèmes sur vie+parent

8 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : évadé évasé évidé évité évohé hâve hâves hévéa hévéas va vais vas vau Vaud vaut veau vêt veut veuve veuves via vidé vie vies vis visé vit vît vivais vivait vivat vive vives vivoté voeu voie voies vois voit vos voté voua vouai vouais vouait vouas vouât voue voué vouée vouées voues voués vous voûté vouvoie vouvoies vs vu vue vues vus Vve Yves éperon éperonna éperonnai éperonnais éperonnait éperonnas éperonnât éperonne éperonné éperonnée éperonnées éperonnes éperonnés éperons épeuraient épeurant épeurent épeureraient épeurèrent épeurerions épeurerons épeureront épeurions épeurons épieraient épièrent épierions épierons épieront épierraient épierrant épierrent épierrions épierrons épreins épreint éprenions éprenons éprirent épuraient épurant épurent épureraient épurèrent épurerions épurerons épureront épurions épurons épyornis héparine héparines hypéron hypérons paieraient paierions paierons paieront paraient paranoïa paranoïas parant parent parenté parèrent pariaient parian parians pariant parient parieraient parièrent parierions parierons parieront pariions parions parons parrain parraina parrainai parrainaient parrainais parrainait parrainant parrainas parrainât parraine parrainé parrainée parrainées parrainent parraines parrainés parrainions parrainons parrains parurent pépieraient pépièrent pépierions pépierons pépieront perçaient perçant perçons perçurent pérenne pérennes pérennisé pérennité périnée périnées périraient périrent péririons périrons périront péroné péronés péroraient pérorant pérorent pérorions pérorons perron perrons pierraient pierrant pierrent pierrions pierrons piperaient pipèrent pipérine pipérines piperions piperons piperont piranha piranhas porion porions porno pornos pourraient pourrions pourrons pourront prenaient prenais prenait prenant prend prenions prenis prenne prennes prenons priaient priant prient prieraient prièrent prierions prierons prieront priions prions prirent prôna prônai prônaient prônais prônait prônant pronaos prônas prônât prône prôné prônée prônées prônent prônes prônés prônions prononça prononçai prononçais prononçait prononças prononçât prônons pruine pruines prune pruneau prunes prunus pueraient puèrent puerions puerons pueront purent purin purine purines purins pyrène pyrénéen pyrénéens Pyrénées pyrènes pyrrhonien pyrrhoniens ...

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

Car elle me comprend, et mon coeur, transparent
Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

Est-elle brune, blonde ou rousse ? - Je l'ignore.
Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore
Comme ceux des aimés que la Vie exila.

Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.

Mon rêve familier
Poèmes de Paul Verlaine

Citations de Paul Verlaine

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Vous n’avez point voulu m’écouter mais qu’importe ?
O vous dont le courroux vertueux s’échauffa
Lorsque j’osai venir frapper à votre porte,
Vous ne cueillerez point les roses de Psappha.

Vous ne verrez jamais les jardins et les berges
Où résonna l’accord puissant de son paktis,
Et vous n’entendrez point le chœur sacré des vierges,
Ni l’hymne d’Eranna ni le sanglot d’Atthis.

Quant à moi, j’ai chanté Nul écho ne s’éveille
Dans vos maisons aux murs chaudement endormis.
Je m’en vais sans colère et sans haine, pareille
À ceux-là qui n’ont point de parents ni d’amis,

Je ne suis point de ceux que la foule renomme,
Mais de ceux qu’elle hait Car j’osai concevoir
Qu’une vierge amoureuse est plus belle qu’un homme,
Et j’ai cherché des yeux de femme au fond du soir.

O mes chants ! nous n’aurons ni honte ni tristesse
De voir nous mépriser ceux que nous méprisons
Et ce n’est plus à la foule que je m’adresse
Je n’ai jamais compris les lois ni les raisons

Allons-nous-en, mes chants dédaignés et moi-même
Que nous importent ceux qui n’ont point écouté ?
Allons vers le silence et vers l’ombre que j’aime,
Et que l’oubli nous garde en son éternité
Sans fleurs à votre front
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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