Poème de Leon Magda
AIGUE MARINE de Leon Magda
AIGUE MARINE
Je plonge mes bleu azur dans les tiens bleu topaze, silence, que de longs cils voilent et dévoilent.
Par une belle nuit, une myriade d'étoiles, je reste comtempler ta chevelure, extase.
Le vent soulève, murmure, une mèche blonde de tes cheveux soyeux, légers, si frêles, si fin.
Jamais je ne veux, sur ton visage enfantin, que de grosses larmes tes joues rondes inondent.