230 poésies d'internaute.

Un jour ailleur ou peut être dans une heure.
Une lueur, un regard, un espoir te revoir.
Un jour ou pas seulement l'amitié pourrait nous croiser,
mais aussi des pensées tant j'en aie à donner.
Il me reste à jouir de nos bons souvenirs.
Il me reste à penser au baiser échangés.
et à espérer qu'un jour nous soit donnés
avec amour toujours et toujours de l'amour

                                               Steeve Parmentier
 

Jamais tu ne l'avoueras

Tu dis que tu ne m'aimes pas,

Mais tout le monde dis le contraire.

Tu es comme un arbre,

Qui vit mais qui veut se taire.

Dans ton coeur,

Je vois de la douleur,

Et des couleurs,

Qui perdent ler honneur.

Jamais tu ne l'avoueras ?...

Si tu m'aimes dis le moi.

Je serais heureuse ne t'inquiète pas !

Alors fais sortir toute ta haine,

Et dis moi "Je t'aimes !!!"

La France entière, 

Dans cet élan sacré qui la caractérise

Va donc se décider à changer de chemise,

Elle en avait des bleues, des rouges et des dorées,

Maintenant c'est fini, elles seront bariolées !

Tous les grands couturiers s'agitent en cadence:

Maître François rêvant une grande unité, 

Un peu teintée de rose, un peu teintée de vert;

La prètresse Marine se rendra m'a-t-on dit

Exporter ses idées aux iles Hawaî

Car en France, dit-on, Pays civilisé

Ses talents de coupeur ne sont guère appréciés!

Quant au second François, spécialiste de la veste

Prospecte en terre jaune, là où ça sent la peste

Pour recueillir gaiement les voix de la jaquette!

L'apprenti Nicolas voudrait voir son contrat

Prolongé de 4 ans pour que la belle Carla

Lui prodigue toujours le don de son amour,

Mais je sais un grand mot d'un Général connu:

"Tous ces petits faiseurs me font bien rigoler

Car sans moi ils pourront aller se rhabiller

Il fait si beau si chaud,

quelle bonne sensation de vivre cela,

je suis si bien,

souvent elle me parle,

souvent je ne sais quoi dire,

et parfois j’ai l’impression quelle m’écoute,

cela fait huit mois que je suis la dans ce ventre,

je me sens si bien dedans et pour rien au monde je ne voudrai sortir,

c’est si bien,

elle me parle,

elle me dit des mots si doux,

c’est ma maman,

je me demande a quoi ressemble le monde de l’extérieur,

sont-ils comme moi ?,

me ressembles t-ils ?,

elle me dit souvent qu’un jour je serai grand,

aussi grand qu’une pomme,

cela me fait souvent sourire,

quand je bouge ou me retourne elle sourit,

oui, oui, sa oui, je ressent la même chose quelle,

c’est comme si je suis connecté a elle,

comme si nous ne fessions qu’un,

elle m’aime et cela sera le plus beau cadeau du monde,

et quand je sortirai-je pleurerai, car je quitterai mon si beau paradis.

Toi.

Toi qui me reg arde comme cet ange,

toi qui palpite mes yeux,

toi comme dirai-je m’aimer,

toi qui ne peux m’ennuyer,

toi qui me regard, regard moi chanté,

toi cet amour que je porte à mon cœur,

toi à jamais dans ma vie.

Frank. Primault.

Si loin de moi.

Si loin de la,

chaque jour qui passe,

je passe face a toi,

suis-je si invisible que cela,

je me le demande toujours,

je ne saurai quoi te dire,

non, seul le temps te le montrera,

combien dans cette vie je t’aime,

j’ai peur, peur de partir sans t’avoir aimé,

sans avoir reçus un doux baisser de toi,

sans t’avoir pris dans mes bras,

sans t’avoir dis ces mots,

je ne fais que passé,

car je ne saurai se qui est mon destin,

je ne veux que te prend par la main,

pour que tous deux marchons dans le même chemin,

je ne demande que t’aimer, t’aimer jusqu’à mon dernier souffle,

je ne demande que de vivre sous tes ailles,

toi l’ange de m a vie,

je ne demande que te voir comme je vois le monde,

je te désir si fort,

je ne saurai comment te dire c’est mots,

je ne saurai comment te prouvé cela,

hélas-tu ne sais rien de mon amour,

j’ai si peur de te déclaré mon cœur,

je le ferrai pour mon honneur,

ma vie sans ton oui ne serait que enfer.

Je t’aime.

Regarde moi.

Face a toi,

regarde de moi,

donne moi un sourire,

cela me fera mourir,

regarde moi une nouvelle fois,

j’implore tes bras, j’ai si froid,

je ne demande que toi,

regarde de moi,

quand la nuit sera finit,

ainsi sera ma vie,

regarde moi,

moi qui te désir,

moi qui t’admire,

regarde moi,

que veux tu de moi,

je n’aie plus le foie,

je ne veux que t’aimai,

encore et encore,

jusqu’à la mort,

dis moi que tu m’aime,

cela effacera ma haine,

je ne veux pas te faire de pêne,

je suis juste la,

regarde moi

Pour quoi écrire.

souvent les hommes écrit pour ce comprendre,

écrit pour ce faire comprendre.

Mais très peu souvent on écrie pour partir,

partir loin de la réalité,

cela peut être en elle-même une bonne éventualité,

car écrire pour exprimer sa douleur, sa peur, ces haines,

un chagrin, un mal.

Moi souvent quand je me donne a écrire, je pense, oui je pense au temps,

au temps qui passe sans question ni raison,

je pense au homme qui pleur, pleur pour leur pêne sans honte, ni mensonge,

je pense au monde passé, passé avec tant de vie briser,

je pense au soldat qui dans un temps passé ont donne leur vie pour le meilleur et pour le pire,

je pense au enfants qui rêves toutes les nuits d’une monde, nouveau ou l’on voie ni pêne, ni douleur,

je pense au futur qui ce montre face aux hommes qui malgré eux ne font que détruire, détruire leurs planêt,

je pense a ce monde, ce monde qui est pour le moment a nous, mais pour combien de temps encore,

je pense au étoiles qui brilles, brilles après leur mort et qui est vue a travers la galaxie,

je pense aux femmes qui ce disent que dans ce monde ou elles donneront naissance à leurs petits, que deviendront t-ils dans une future proche,

je pense aussi a ma vie qui ce coule comme cette rivière qui ce donne a la mer,

je pense au jeunes qui rêves avec des projets d’avenir dans un monde qui va en dérive,

je pense a ma famille, qui malgré la vie font pour le mieux dans un avenir proche,

je pense aussi très souvent a ceux qui seront la après nous, car que diront t-ils de nous, que leurs parents n’ont rien fait pour ce monde,

je pense a ceux qui dans cette vie vivent comme s’ils mourraient demain ou aussi a ceux qui chaque jour pense a ceux qui viendront après nous,

je pense a ma vie et je me demande de fois, quelle est ma destiné, car de moi je ne suis qu’un homme, un homme parmi d’autres,

alors si je n’écris plus, je ne penserai plus, et cela qui le ferra pour moi ?.

Peuple du monde.

Mais pourquoi aimer quand cela n’est guère possible,

pourquoi rêver quand nos nuits sont volées,

pourquoi dire a Dieu quand tout ne fait que commencer,

pourquoi pleurer quand nos larmes sont si précieuses,

pourquoi voir tant de mal quand la mort ne fait que passer,

rien, je ne suis rien qu’un homme qui ne fait que rêver,

je ne pleure pas les larmes de mon corps, mais celles de mon cœur,

nul ne peut décrire ce que je peux ressentir dans ce monde,

je ne suis qu’une illusion, je ne suis qu’une image,

quoi que le monde dise,

je suis moi,

je resterai moi,

je rêve d’un monde, d’un monde de paix,

un monde ou toutes les nations ne font qu’un,

ou vous mes frères nous sommes réunis,

ou les armes sont déposées,

plus de sang perdu,

plus de vie volée,

plus de joie brisée,

plus de douleur humaine,

mais un amour commun,

je suis le messager de la paix,

je suis juste comme vous,

ensemble nous briserons les chaînes,

les chaînes de la mort,

nous ferons voir au monde que la vie est belle,

nous construirons un monde nouveau,

oui, la joie, la paix, l’amour, la.

je ne saurai décrire tout cela,

ensemble le monde redeviendra un symbole, symbole de paix,

de gratitude, nous verrons les générations futures sourire sur les lèvres de nos enfants,

eux à leur tour diront combien nous avons donné d’amour à ce monde,

qui oublie la guerre.

Frank. Primault.

Notre futur mon amour

Accueil moi a toi..

tu devras lui dire de parties voir nos très chères agapes, dans le but d’entretenir notre amour.

Mon cœur est le témoin qui a déposé avec emphase l’innocence de l’amour que j’ai pour toi.

Les dimanches je me ferai passer pour le chœur pour te décrire chaque battement de mon cœur.

Je serai a jamais ton complice pour prend part dans toute ta vie et découvrir ton hêtre.

J’ai cordé dans mon cœur ce fil pour passer au ras chaque moment passer avec toi.

Au fil du temps mon hêtre te semblera si parfait, se que je suis loin d’être a mon hêtre.

J’ai pas une vie harmonieuse, mais si tu donne un e goutte de ta personne, le paradis me sourira.

Ma main qui a soif de conquête, d’explorer ton corps, comme un chevalier fou de toi.

Alors en ce jour je veux réseau-té une construction future avec toi.

Et toi que veux tu ?.

Ma chère..

voici que je porte sur cette petite feuille mes mots, ma plume ma fois, j’en suis venus a crois que le monde ne peut croire que l’on peut être amoureux, se qui serait pour moi la fin du monde perdu.

Si ce mot est une estime je lève ma main et celui-ci je le porte a ma poitrine, car quand tu dis au-delà des mers cette phrase << folle de lui>>, mon cœur en réduit de sa taille, pour quoi, tous simplement parce que, plus le temps passe plus moi et ma fois se rapprochons de ton hêtre et j’en demande grasse si le pardon et un péché, l’amour en toi est une gloire ?. Si tu veux cherché c’est quoi mon bonheur, il te faudra trouvé cette flamme qui brûle en moi, cette flamme qui pour toujours est fidèle a moi, trouve se coffre qui renferme mon amour, ouvre le, et avec douceur et affection, chuchote moi des mots d’amour, donne lui pour moi un câlin affectif qu’il soit grand ou petit.

Le vois-tu ?, mon cœur saigne de mon sang qui sont ces larmes, j’en pleur, j’en meurt, cela fut ton souhait ?, non j’en doute bien fort, pardonne moi si je n’aie pu te donner mon cœur comme arme de paix et de liberté, car la seule liberté qu’un homme comme moi pourrait avoir c’est le tien.

Tu sais la première fois qu’un enfant adopte la capacité de la vision et qu’il fut voir sa mère c’est une chose symbolique, c’est comme cela que mon cœur réagit lorsque celui-ci te vit, un premier baisser peut se partager avec amour, mais cela reste en lui-même une chose que nul ne peut refuser.

Alors écoute dans le vent, le son de ma voie qui te dit je t’aime. Cette phrase en lui restera un souvenir qui ne s’effacera a jamais dans le temps.

Je te quitte sur cette longue et grande estime et je te dis, au ange ma chère, au ange et a notre future.

De quoi l’homme est vraiment fait pour vivre de telle condition, de quoi l’avenir est il fait, cela reste en soit même une question, mais très peu de personne peuvent répondre, car de nous même nous ne savons pas ou va le monde, je ne fais que écrire, écrire au nom de mon futur je suis humain et j’implore le pardon du monde, car de tous les hommes je ne suis que de passage, je ne veux laisser que mon nom dans le cœur des hommes pour que à jamais on se souvienne de moi.

Qu’est-ce que le futur me réserve, cela seul le temps me le dira.

Je suis né pour qu’un jour je parte dans le monde ou la vie me sera retirée, pour faire place à ceux qui viendront après moi, je ne fais pas que écrire ma douleur, ma souffrance, ma haine, mes peines, ma colère, non rien de tout cela, je ne fais que écrire ce qui un jour me fera devenir un homme, et que un jour fera comprendre aux hommes que dans cette vie nous sommes faits pour vivre dans la paix, la joie, le bonheur, et le désir de vivre et d’aimer son prochain.

Cela en soit est un travail qui semble regarder bien plus qu’un, oui je le sais, qu’un jour des hommes comprendront que ce monde ne sera plus là dans quelques années, des jours futurs, que pense ceux qui sont partis et qui se disaient que le monde dans notre futur serait un monde de paix, un monde qu’ils ont rêvé et qu’ils ont voulus voir grandir et devenir un monde qui respecte la planète et tout ce qui tourne autour, je sais que cela semble bien grotesque, mais cela est bien vrai.

J’ai si mal quand je regarde mes amies, mes camarades, ceux qui sont autour de moi, jeunes !, mais inconscients du mal qui tourne autour de nous, je me dis que souvent c’est sûrement moi qui ne fais pas ce qu’il faut pour ce monde.

Que faire ?.

Je regarde le ciel,

j’écoute la douce mélodie du vent,

Je pense a toi,

je ne vois que toi.

J’ai tellement hâte de te prendre dans mes bras,

mon enfant.

je sais que un jour tu deviendras un homme,

tu seras le plus grand.

je te vois courir,

encore et encore comme ton père,

je t’aime, car je sais que je serai la première femme à qui tu donneras ton amour,

à qui tu seras amoureux en tout premier lieu,

moi je serais la femme la plus heureuse en ce jour,

j’attends si bien ta venue dans ce monde,

tu verras mon enfant, le monde semble bien cruel mais cela ne change pas le monde,

tous mon rêve se porte à toi,

tous mes désirs se tournent vers toi,

je souhaite de tous les bonheurs du monde que tu sois toujours mon champion,

et un jour, tu seras aussi grand qu’une pomme je serai là,

pour ta première histoire amoureuse,

quand cela te fera mal d’aimer et de te sentir trahi, je serai là,

pour tes premiers pas dans le monde, je te vois seul dans ce monde courir toujours courir,

moi mon enfant un beau jour je ne serai plus là,

tu devras faire tes pas toi même,

je ne sais pas si tu te souviens de cela encore,

mais je te montrerai avant ce que le monde a fait comme mal,

du moins je te montrerai ce qui ne va pas dans notre vie.

Histoire raconté par ma plume.

Quelle triste nouvelle fut apporté en ce jour a mon cœur,

et cette vie qui me donne tant de peur.

De fois je me dis que cela n’est que pur erreur.

Qu’une vie comme celle-ci ne passe jamais sans horreur.

Sans heures de malheur.

Je ne sais plus ce qui fait mon malheur.

Juste au coin de mes yeux je te porte ce bonheur.

Je désir tant aimé et me laissé déposé une fleur.

Celle qui fleurira arrosé par ma sueur,

j’aimerai prié comme ce chœur,

qui a péché sur sa vie,

sans ce demandé si cela est écrit,

je ne pose pas de question je ne pose pas de point qui finit,

juste une virgule pour exprimer ma suite,

et je me sentirai juste trahi,

je suis pas une image de Provence ou un fruit,

mais juste celui qui écrit sa haine,

oui, celui qui éprouve son pêne,

ou encore cette personne misérable,

je poserai sur ma tombe un mot de ma fable,

j’aimerai prendre un dernier soupé a ma table,

cette table qui raconte mon enfance,

celui donne j’ai toujours voulue oublier a ma face,

cette enfance qui s’oublie sans trace,

je ne pleur pas pour les pauvres de ma race,

cette race si fragile qui passe dans les ténèbres,

je pose ma plume pour un point sans suite,

car nul ne racontera qui je suis,

hélas ma vie est telle un mystère sans fuite,

je ne sais plus si écrire est fait pour les hommes comme moi,

ou si je ne fais que perdre la fois,

je sais que je devrai aller droit,

tête haute et sans honte quoi qu’il soit,

je porterai ma vie a ma droite,

voilà la fin d’une histoire raconté par ma plume.

mes amies, a vos lettres. Frank Primault

Choix de la vie humaine dans ce monde.

L’on dit que vivre vient du fait que Dieu nous a donné la vie.

Mais a vrai dire qui sommes nous vraiment.

Là, reste une question sans réponse que nul ne pourrai de nos jours donner raison ou réponse mais gardons en tête que le temps passe et les choses se montrent plus claires et plus clémentes.