230 poésies d'internaute.



Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir

[ René Char]

Balade en compagnie de William Shakespeare, Pierre de Ronsard, Jean de La Fontaine, Friedrich Hölderlin, Alphonse de Lamartine, John Keats, Victor Hugo, Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud, Rabindranath Tagore, Paul Valéry, Louis Aragon, Paul Eluard, Jacques Prévert, Pablo Neruda, Yves Bonnefoy, Adonis, François Cheng, Joseph Brodsky, Nimrod et bien d'autres..
La poésie qui, un jour ou l'autre dans notre adolescence a interpellé un grand nombre d'entre nous est toujours bien vivante.


Nouveaux poèmes ou vers déjà connus ?


L’idée que j’attache à la poésie est donc celle d’une imitation en style harmonieux, tantôt fidèle, tantôt embellie de ce que la nature, dans le physique et dans le moral, peut avoir de plus capable d’affecter, au gré du poète, l’imagination et le sentiment.

[ Marmontel ]

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souvenir maya de jojolapin

 

Après trois « mille » ans, souvenirs d’un roi Maya

 

Un serpent créa le peuple Maya

Deux têtes ce reptile montrait déjà.

En trois régions, le cosmos, divisa.

Quatre dieux pour tenir le ciel, plaça.

 

Neuf seigneurs au royaume de la nuit.

Treize étages empilés dans le ciel,

Dont Muan, l’oiseau sacré si réel.

Deux âges pour ses âmes : inouï !

 

Nous, roi maya, tombons dans le tréfonds,

Mais, le soleil, au ciel, revoyons.

La Lune et Vénus en dieu nous recyclent.

 

Trois calendriers pour décrire

les temps où se suivent les cycles,

et de la fin du monde s’enquérir ?



toi ma soeur de loreva65

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant,

J’ai juré a Dieu , au ciel , et tout ce qui gouverne nos instincts primaires,.

Au nom de ton enfant.

Qui a rejoint le firmament  

D’’être là , oui juste là ,devant.

Avec toi sur ce chemin parsemé de venin  ,de gens malsains, de mécréants.

Ces mêmes gens qui ont fait un jour le serment.

De juger et de punir tout actes naissants.

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant,

Je te tiens comme je peux la main ,Pour t’aider dans cette bataille .

Aux nombreuses failles , patronnés par des gens dits : ‘’ de taille ‘’

 Qui mutilent  tes entrailles à chaque bataille.…

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant,

Accablées par un verdict écœurant

Affaire classée sans suite ! Nous parlons  d’un enfant !

Mort par des mains de gens, incompétents, ignorants.

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant,

Face à une justice représentée de noir de Rouge de blanc ! Des pions.

Qu’importe la couleur ! Putréfiée par des gens qui s’empêtrent dans leur fonction.

Système corrompu, gouverné par des gens franc -maçons qui protègent leur ‘’frères ‘’

Et meurtrissent le cœur d’une mère.

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant.

Ne baisse pas les bras , bats toi .

Nous sommes tous avec toi .

C’est un combat dans lequel la puissance sera condamnée par des résistants.

Mais aussi j’ose y croire par des gens assermentées véhéments.

Qui protège les enfants , et leur maman..

Je suis là, moi ta sœur ,  devant ta vie au  regard impuissant.

Isabelle Hot .



Tire sur l'oiseaux ! de Camelia86

Attraper l'oiseaux avant qui s'en aille

Sinon il va ce sauver pour toujours

Attention il part  Vite  Vite

Les oiseaux sont plus mignons

Je l'ai adore et j'ai envie de les attraper 

Pour les mettre dans leur nid

J'adore les oiseaux ce sont les plus chouettes

Ce sont les meilleures ! Je l'ai adore enfin !

Je l'ai adore !

 



Adieu - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou de Apollinaire

L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort
O Lou le mien est plus fort encor que la mort
Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord

Lettres Envoie aussi des lettres ma chérie
On aime en recevoir dans notre artillerie
Une par jour au moins une au moins je t’en prie

Lentement la nuit noire est tombée à présent
On va rentrer après avoir acquis du zan
Une deux trois A toi ma vie A toi mon sang

La nuit mon coeur la nuit est très douce et très blonde
O Lou le ciel est pur aujourd’hui comme une onde
Un cœur le mien te suit jusques au bout du monde

L’heure est venue Adieu l’heure de ton départ
On va rentrer Il est neuf heures moins le quart
Une deux trois Adieu de Nîmes dans le Gard



de

Pour moi le voyage

C'est comme un message

Tu apprend des langues



de poèmesvagabonds

A mon amour perdu,

 

De te parler

Eclaircit mes idées,

De te voir

Eloigne mes cachemards.

 

Je t'aime

Mais pourtant on dirait que

Tu ne m'as jamais aimée

On était ensemble,

Tu m'as rejettée.

 

J'ai compris que

Plus jamais tu ne seras

Ma lumière dans l'ombre

Mon soleil dans la nuit.

 

Je sais que tu feras comme si de rien n'était, mais sache que

 

Je t'aimais

Je t'aime

Je t'aimerais

 

Pour toujours

A jamais.



de poèmesvagabonds

Amourette secrète

 

Les yeux dans les yeux,

Ma main dans la tienne,

Nos âmes entrelacées

En une seule pensée.

 

Je pense à toi,

Tu penses à moi,

Rejoignons-nous,

Sous un arbuste de houx,

Embrassons-nous.

 

Tu m'enlèverais,

De mes cheveux décoiffés par le vent,

Une feuille tombée de l’arbre,

Tu me prendrais dans tes bras,

En guise d’au revoir,

Le cœur lourd,

Nous nous quitterions

Pour nous promettre de revenir

A la même heure

Sous le même buisson

Le lendemain,

Pour continuer

Cette amourette

Secrète.

Eléonore Leblanc



le message de vuvu

 

Le message

Le cœur serré, ressent ton  amour

Temps interminable, avant ton  retour

Est-  il juste cette rupture inattendue ?

Venu de loin ton amour perdu,

Pour venimer notre lien d’âmes !

Te l’avouer juste sans  blâme,

Quitter par amour ne peine pas les cœurs.

 



OCT 16 ( Khalid EL Morabethi ) ( Une lueur , un c de Khalid EL Morabethi

Une lueur, un cri. Il était une fois un homme sur un banc toujours assis Dans un beau jardin plein de belles fleurs Toujours la, mais son cœur, son âme, son esprit étaient ailleurs L’homme aux yeux noirs songeait à toutes les belles choses qui l’entouraient Il avait ce sourire même s’il était si faible et déprimé Il pensait à sa fille Leila qui l’avait quitté Il pensait à l’espoir qui est parti sans se soucier de ce qui peut lui arriver. Une lueur, un appel Il appelle sa mère qui est partie le jour de sa naissance L’homme, le vieillard appelle ses espérances Dans un monde infernal, il est demeuré seul Un appel à la belle vie qui est partie très loin de son univers froid La nuit, il a pris l’habitude de se diriger vers l’oubli et jusqu\'à l’ivresse il boit. Un hurlement, un rêve L’esprit de l’enfant attendait le retour de ses parents Il voulait être content Il attendait juste leurs amours Mais elles sont parties pour toujours Un départ sans retour. Une lueur, un cri L’homme sur un banc toujours assis Il se demandait, pourquoi les fantômes du mal ont hantés sa vie ? Pourquoi sa vie dans une tempête avait sombré ? Pourquoi son corps dans cette petite cage sans porte a été enfermé ? Des lames de sang et des appels Après la prière, il appelle son unique ciel Son unique appui, sa seule raison, sa vie Dieu … l’amour, le bonheur et le fidèle ami Dieu… Qui n’abandonne personne Qui pardonne. Une douce mélodie Une voix charmante d’une ravissante sirène à l’intérieur du paradis Son parfum flottait dans l’air Elle lance son rayon et le côté ténébreux s’éclaire Sa voix audacieuse a apporté le printemps à une terre qui souffrait dans l’obscurité A l’intérieur du paradis près de l’arbre interdit, elle chantait. Une lueur, un cri La nuit, à la maison les cierges s’allument Le sage prend enfin sa plume Il revient avec sa mémoire en arrière Ecrivant son enfance et la rivière Ou tous ses rêves étaient noyés Noyés. La lune, le soir, un sourire, des yeux fermés C’était lui et moi Un hôpital, une chambre blanche et un lit Il ouvrit ses yeux et il m\'a souri C’était son dernier silence C’était ma dernière mélodie silencieuse. Khalid EL Morabethi Maroc / Oujda 10/7/1994 [email protected] faculté mohammed 1 oujda lettre Tout droit réservé

de Sky

Les saisons ...
Parce qu'on est meilleur en dehors
Et qu'en dedans l'on étouffe,
Parce que la nature vaut de l'or
Et que je veux sentir son souffle,

Par la bise nous commencerons .
Tout comme la neige je suis frigide ;
Nous avons droit à l'Aquilon                                        

Et moi je reste aussi acide .

Puis vient enfin le renouveau
Et le muguet en est à l'une,
Le zéphyr donne l'air qu'il faut
Mais moi je reste taciturne .

Les soirs bleus d'été me font sourire,
Ils arrivent même à faire rêvés .
La réalité me prend et me tire,
Car il semblent falloir s'arrêter .

Pourquoi finir par l'automne ?
Moi même, je ne sais pas .
Les couleurs peuvent paraître monotones,
Mais elles réchauffent mon coeur si las .

 



Jour -j de jérôme R.

Le jour j

Le rêve est une fatalité,
Puisque le temps passe , comme
Les nuages dans un ciel noir
Noir de haine,


Abuser, violer,
Ton esprit est corrompus
L'os tu la dans le cul
Patience et douceur
Prend ton mal en douleur
Craint ,ais peur
La souffrance perçu comme une vengeance
La folies devient passion
Plus qu'un parmi les pierres
Un passé en tance
Un jour la nuit tombe
Dans le noir on sombre
Pour sortir de l'ombre
Il faudra survivre a l’hécatombe

L'homme chasse , pêche, et pisse
Partout, bientôt la terre s'ouvre,
Pour tous nous engloutir,
enterrer vivant , pas le temps de mourir.

Les arbres nous étranglerons de leur branche,
Les rires se mêleront aux cris , alors,
Ils résonneront pour laisser place au calme
Rayonner la lumière,
Une fois les yeux des aveugles ouvert.

Les éclairs crache et arrache le ciel,
Les veines promettent de lâcher,
cette vision sombre ,
annonce un sommeil incertain.

Je remplis mon verre de honte,
Je bois au Tombeau
Ce sang impure,
Plus nocif que le cyanure.

Avec ce gout amer, la mémoire écorché,
Se noie et se perd le futur macchabée
L'odeur putride qui s'en dégage enivre le paysage,
Seul les couleurs reflète encore le décor.

Notre absence comme un désir accompli,
Ouvre divine ou mauvais présage
Perpétré,
Allons enfant de la patrie
Nous décomposer en paix.



nocturne de tourterelle

 

                                    Si j’étais une liane

 

 

 

Si j'étais une liane dans la jungle du Congo,

je m'enroulerais autour de toi, doucement

Des pieds à la tête puis te serrerais très fort pour te prendre ton cœur,

Tes poumons, aspirerais ton sang pour te pénétrer entièrement

 

Puis je relâcherais mon étreinte , mes liens, te laissant à terre

J'irais m'enrouler sur le tronc du plus grand arbre, un baobab

L'épousant en rejetant, inoculant ton sang jusque ton faîte

Je serais moi, l'arbre serait toi qui vivrait très longtemps

 

S'élevant vers le plus haut pour atteindre le ciel, et vivre des siècles.

Je te humerais, te caresserais, vivrais de ton corps qui m'appartiendrait

Pour toujours, tu serais mon prisonnier, printemps, été, hiver

Tu perdrais tes feuilles qui feraient un grand tapis à tes pieds

 

Les hommes et les femmes viendraient se rafraîchir de ton ombre

T'enlacer, faire l'amour ,  t'admirer, palper ton écorce, te sentir,

Graveraient leurs initiales sur ton tronc dans un joli cœur,

 

Tu m'appartiendrais pour l'éternité, enserrer de ma longue tige

Qui pousserait tous les ans pour atteindre tes branches les plus hautes

Il n'y aurait qu'une vie, qu'un couple qui battrait ,

Nos corps, nos esprits ne feraient qu'un, enlacés à jamais.

 

Des générations viendraient t'admirer avec tes grandes branches

Chargées de belles feuilles et de graines, les ramasseraient  en les lançant en l'air

Ou les emmèneraient pour les peindre,

Les laisseraient sécher pour les insérer dans les pages d'un livre en souvenir de toi.

 

Je me ferais discrète, serais ton habit velu, collé à ton écorce

Me nourrirais de ta sève et vivrais aussi longtemps que toi.

Les pensifs s' appuieraient contre ton tronc majestueux pour réfléchir, 

Se soulager de leurs misères.

 

D'autres se tenant par les mains en une grande chaîne s' appuieraient contre toi

Te mesureraient, te parleraient, tu leur donnerais ta force, ta vigueur

Tes branches abriteraient des roussettes,  des oiseaux et leurs nids, leurs couvées,

Des singes sauteraient de branches en branches

 

Je serais une femme plante, piège végétal aux tendres lianes

Qui boirais ta liqueur , avide de t'appartenir.

 



tristesse de Mustapha

Quoi dire et quoi faire

 

 

Se soir encore la vie me déçois

Et j’ai tellement de choses à te racontée 

Dis-moi que tu vis même loin de moi

Dis-moi que tu viens et je t’attendrais

 

Se soir ma fille je n’ai plusenvie                   

Et c'est étrange ce que je ressens

Après cette crise je suis encore en vie

Forte ma douleur je serre les dents

 

Quoi dire et quoi faire pour que j’oublie

Cette nuit-là où j’ai versé des larmes sans dire un mot

Et mes yeux par les larmes étaient aveuglés

Car je n’ai pas eu de chance de voir mon enfant

 

Se soir je t’écris pour la dernière fois

Et pour toi je dévoile tous mes secrets 

Si tu me lis un jour tu sentiras en toi

Tout l’amour d’un père pour son bébé

 

J’écris que l’amour c’est tous se que j’ai

Je cherche et je ne trouve pas les mots

T’écrire encore des longues causeries

A ma fille se soir je demande pardon

Faible que je suis cloué dans mon lit

Et mes yeux qui fixent le blanc du plafond

Je pense à toi, est-ce que tu es en vie

Ou bien poussière dans un triste tombeau

 

Je veux te voire pour me calmé

Et faire plaisir un jour a mes yeux

Je veux croire que tu es encore en vie

Ils ont prit ton corps j’ai que ton nom

Dans chaque de mes poème je te disais

Je t'aime ma fille énormément

Je t’aime ma fille et c'est vrai

 

Je veux m’asseoir rien qu’un moment

Auprès d’elle j’ai tellement rêvé

Et prendre dans mes bras ce cadeau de dieu

Même c’est si le dernier moment de ma vie

 

Je vais surement un jour perdre la raison

Qui peut me dire ou se trouve cette fille

Morte ou vivante mon dieu je là veux

Auprès d’elle surement se trouver la paix

Les jours qui viennent pire que ceux qui vont

Vivant je respire mais comme un naufragé

Malgré mes soupires j’affronte seul les vents

Même si je meure tu dois me pardonnée

Le pardon ma fille c’est un acte de dieu

 

J’écris à ma fille de très belles chansons

 Avec ma douce plume et qu’elles soient bien rimer

Même si tu les danses elles ont le goût du tango

Je t’écrirai chaque jour et même de nuit

Même s’il me manque de feuille il y a ma peau

Comme un tatouage profond ton amour sera gravé

Là ma fille dans ce cœur triste juste au milieu

Le cœur jeune encore mais le corps a vieilli

 

Je vois au loin mais rien n’a l’horizon

Chaque jour comme ça, dis moi ou tu es

Te pleuré encore sa me fait mal aux yeux

Après mes yeux je ne pourrai te contempler

Dans mon cœur je n’ai rien que ton nom

Et le nom que j’ai, je ne sais pas s’il est vrai

Sans image de toi ni même pas une photo

Malgré ça ma fille je t’aie tellement aimé

Je te vois avec mon cœur, mon cœur à des yeux

Belle que tu es une vraie beauté

Pour te décrive il n y a pas de mot

J’attends ma fille que tu sois a mes cotées

 

Loin de son jardin ma fleure a grandie

Elle est prisonnière dans se triste pot

Malgré l’univers et ses vastes prés

Elle affronte seule les tempêtes et les vents

Elle a survécu grâce aux goutes de pluies

 Et auprès du cactus qu’elle tient le coup

Sans oiseaux pour lui chantée la vie

L’hiver est devenu ses quatre saisons

Triste là-bas elle est sans amis

Et moi ici j’espère et j’attends

 

Avec les lois du mal sa mère m’a bien tué

Par derrière elle a planté le couteau de la trahison

Et moi avec mon sourire j’attends cette fille

Un jour sa mère a fait le bourreau

Elle l’à condamnée avant qu’elle soit née

A vivre l’hiver sans connaitre le printemps

Loin de la lumière ils l’ont bien cachée

Et à l’ombre du soleil elle vit tout le temps

La lune est froide sa lumière se n’est qu’un reflet

Aujourd’hui mon cœur saigne larmes et sang

Triste dans mon cœur et la vie me fuie

J’attends chaque nuit le verdict de dieu

Et les médicaments n’ont aucun effet 

Ils sont sucrés au goût de délicieux bonbons 

S’il arrive qu’un jour de lire mes écris

Sache bien ma fille qu’il n y a que vous

Que je sois mort ou que je respire la vie

Je t’ai aimé ma fille comme un vieux fou

Aujourd’hui j’attends comme un naufragé

Pour rassasier cette soif qui dure depuis longtemps

Combien de temps encore pour voir ta beauté

Et combien de temps me reste t’il et combien de mot

Écrire et que ma douleur soit bien exprimée

Il n y a que lui qui me comprend, maitre des cieux

 

Entre toi et moi ma fille une plume usée

Qui verse chaque nuit des larmes noires

Des mots envers toi avec toutes leurs beautés

 Qui font vibré les cœurs et faire pleuré les morts

 

Combien de oiseaux ont sacrifié leurs ailes

Pour que les poètes écrivent encore des mots

Combien de beauté et combien de merveille

Ont rendu nos cœurs couleurs printemps

Combien d’artiste avec leurs toiles

Ont donné la vie à des tristes tableaux

Il est triste alarme le bel arc en ciel

La beauté s’en va ne reste que les mots

 

Combien de condor vit encore au ciel

Avec leurs plumes vous aurai un don

De très belles écris commence par je t’aime

Que des mots d’amour pour vous mes enfants

Que les mots de mes écris soient éternelle

Même après ma mort je parle encore à eux

Encore une plume pour que j’écrive à ma belle

Des mots tendre qui sortent de mes profonds

 

Combien de chansons parlent de ma douleur

Qui me serre le cœur loin de tes yeux

Et combien de prière j’ai fais chaque soir

Pour que ton destin sera pour toi clément

Aujourd’hui ma chère je ne sais pas quoi faire

Avec ma faiblesse et eux sont nombreux

 Je fuis la nuit je fais des cauchemars

J’attends ma fille j’attends ton pardon

 

Combien de saison j’ai vécu sans elle

Et combien de fleurs et combien de printemps

Combien de larmes douces en coulé parterre

J’ai ratai ma fille toutes tes rendez-vous

Aujourd’hui je me plains je me sens pas fier

Dans ce monde se trouve ma chair et mon sang

Comme une triste reine elle est prisonnière

J’attends se chevalier qui n’as pas de nom

Avec son épée et l’élégance de son cheval noir

Il brisera les chaines des portes du château

Elle sera libre un jour ma petit reine

Et devant moi un jour j’admire la beauté de ses yeux

 

Combien de rêves j’ai fais au pays des merveilles

Mais la réalité ma fille elle est tellement affreuse

Combien de oiseaux ont fait dansée leurs ailes

Et avec leurs voix divine ont chanté pour vous

Combien de nuits blanches et des histoires réelles

Tu as ratai ma puce loin de ton berceau 

Loin de ta poupée et ton petit écureuil

Tous ce temps là ma fille tu étais absente

Et moi dans mon coin je prie l’éternelle

Qu’il me donne la force pour surmonter mes maux

 

Combien de bougié ma fille tu as soufflé en l’air

Malgré mon amour et la force de ces vents

Combien de fêtes j’ai raté combien d’anniversaires

Combien de souhait tu as fais et combien de vœux

Combien tu as eu de cadeau très cher

Je suis pauvre ma fille je t’offre les mots

Ta mère est cruelle je ne sais de quelle enfer

Elle a nourri son cœur et tous ces sentiments 

Elle a prit mon sang elle a prit ma chair

Il viendra un temps ou sa ne vaut rien dire le mot pardon

 

 J’écris à ma fille pour combler ce manque

Tant d’encre noire pour elle a bien coulé

Sur terre sans elle je suis faible comme un phoque

Mais dans l’océan de son amour les orques me suit 

 

Je viens ma fille sa y je prends les routes

 Attends-moi stp ne grandie pas

Je viens malgré ce qu’il me coute

Je viens avec des fleurs comme témoins

Je viens ma fille ne ferme pas la porte

Stp tendre moi ma fille tes deux mains

Je viens et malgré que ma marche est très lente

Peur se que tu vas me dire ma fille demain

 

Non ma fille se n’est pas ma faute

Le coupable c’est bien mon triste destin

Des lames fins lui qui me plantent

Dans mon cœur ma fille a chaque matin

Quand je pense à toi j’ai une douleur forte

Et j’ai peur ma fille de  mon lendemain

La vis sans toi ma fille me dégoute

Tout son délice sans toi ne vaut rien

Un seul instant auprès de cette petite

Je donnerai mon foie ainsi que mes deux reins

Et pour jouer ma fille un jour avec ta flute

Je t’offre même mes dix doigts

 

J’écris à ma fille des mots romantiques

 Est ce que j’ai tort de lui écrire ou bien j’ai raison

Dieu seul sait combien cette fille elle me manque

La vie sans elle c’est une triste prison

Et une prison sans lumière nous complique

Se soir je chante a ma belle de très jolie mots

Des mots qui vibrent les cœurs et qui donnent des ailes

Qui viennent du cœur d’un père qui n’a pas vu son enfant

 

Au revoir ma fille dans un jour merveille

Et je ne peux pas ma fille te dire adieu

Mon cœur à des yeux il me parle souvent d’elle

Et mes yeux pleurent d’envie de temps en temps

Je t’aime ma fille mon cœur est fidèle

Je t’aime et a bientôt

Mustapha.



de Geek_Off

 

Ce matin à l'aurore, quand le soleil se lève,
L'univers se réveille sur un monde de rêves,
Et mon coeur bat, se remplit d'émoi,
Ainsi qu'une guirlande pleine d'espoir et de joie,
Je veux trouver mon roi, à moi de faire un choix,
Je voudrais être libre, faire mes propres lois,
Je veux une aventure, qui soit heureuse et brève,
L'amour ne dure pas, il faudra faire une trève,
Mon coeur comme une flamme, s'allume et puis s'éteint,
Et tout comme l'amour, il régit mon destin,
Au rhytme auquel il bat, il trace mon chemin,
Au bout il m'attendra, mon beau prince charmant,
La clé de mon coeur sera celle de mon amant,
Et elle lui appartiendra indéfiniment...


de pericles60

De mes obscurs chagrins

Je garde un fardeau dans mon cœur et mon âme

J’en ai fais mon malheur et ma souffrance

J’avais gravé ce cœur sur ma peau au fer rouge

Pourtant on se résigne un jour en signe d’un au revoir

De se faire petit même a s’effacé

Je me sens ci lâche d’avoir abandonné

Pas que je ne l’aimé pas, mais juste peur de souffrir chaque jours

J’agonise en silence pour ne pas éveillé les soupçons.

Je me suis condamné a airé entre deux monde

Sans trouvé un répit je reste un prisonnier de mon passé

Je me suis échoué et j’ai perdu pied

Leurré par ange ou plutôt par un démon

Dans mes brèves accalmies mon cœur repose sur un simple geste

J’apprends que chaque mots peuvent contrer chaque maux

Pourtant chaque pensées ces mots te fond replongés

Si vide et si triste j’en deviens livide

Je n’ai plus qu’un seul but oublier ou m’endormir  pour toujours.

J’écris c’est quelques phrases pour évacué mon malheur et ma peine

Je te pleure et toi tu dois en rire m’ayant oublié depuis longtemps.

Pourtant je t’aurais donné ma vie.

A ce jour je te hais aussi fort que je t'aime



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La poésie, comme Dieu, comme l'amour, n'est que foi.

[ Juan Ramon Jimenez ] - Le courant infini