230 poésies d'internaute.
Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir
Balade en compagnie de William Shakespeare,
Pierre de Ronsard,
Jean de La Fontaine,
Friedrich Hölderlin,
Alphonse de Lamartine,
John Keats,
Victor Hugo,
Charles Baudelaire,
Stéphane Mallarmé,
Arthur Rimbaud,
Rabindranath Tagore,
Paul Valéry,
Louis Aragon,
Paul Eluard,
Jacques Prévert, Pablo Neruda, Yves Bonnefoy, Adonis, François Cheng, Joseph Brodsky, Nimrod et bien d'autres..
La poésie qui, un jour ou l'autre dans notre adolescence a interpellé un grand nombre d'entre nous est toujours bien vivante.
Nouveaux poèmes ou vers déjà connus ?
L’idée que j’attache à la poésie est donc celle d’une imitation en style harmonieux, tantôt fidèle, tantôt embellie de ce que la nature, dans le physique et dans le moral, peut avoir de plus capable d’affecter, au gré du poète, l’imagination et le sentiment.
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souvenir maya de jojolapin
Après trois « mille » ans, souvenirs d’un roi Maya
Un serpent créa le peuple Maya
Deux têtes ce reptile montrait déjà.
En trois régions, le cosmos, divisa.
Quatre dieux pour tenir le ciel, plaça.
Neuf seigneurs au royaume de la nuit.
Treize étages empilés dans le ciel,
Dont Muan, l’oiseau sacré si réel.
Deux âges pour ses âmes : inouï !
Nous, roi maya, tombons dans le tréfonds,
Mais, le soleil, au ciel, revoyons.
La Lune et Vénus en dieu nous recyclent.
Trois calendriers pour décrire
les temps où se suivent les cycles,
et de la fin du monde s’enquérir ?
toi ma soeur de loreva65
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant,
J’ai juré a Dieu , au ciel , et tout ce qui gouverne nos instincts primaires,.
Au nom de ton enfant.
Qui a rejoint le firmament
D’’être là , oui juste là ,devant.
Avec toi sur ce chemin parsemé de venin ,de gens malsains, de mécréants.
Ces mêmes gens qui ont fait un jour le serment.
De juger et de punir tout actes naissants.
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant,
Je te tiens comme je peux la main ,Pour t’aider dans cette bataille .
Aux nombreuses failles , patronnés par des gens dits : ‘’ de taille ‘’
Qui mutilent tes entrailles à chaque bataille.…
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant,
Accablées par un verdict écœurant
Affaire classée sans suite ! Nous parlons d’un enfant !
Mort par des mains de gens, incompétents, ignorants.
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant,
Face à une justice représentée de noir de Rouge de blanc ! Des pions.
Qu’importe la couleur ! Putréfiée par des gens qui s’empêtrent dans leur fonction.
Système corrompu, gouverné par des gens franc -maçons qui protègent leur ‘’frères ‘’
Et meurtrissent le cœur d’une mère.
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant.
Ne baisse pas les bras , bats toi .
Nous sommes tous avec toi .
C’est un combat dans lequel la puissance sera condamnée par des résistants.
Mais aussi j’ose y croire par des gens assermentées véhéments.
Qui protège les enfants , et leur maman..
Je suis là, moi ta sœur , devant ta vie au regard impuissant.
Isabelle Hot .
Tire sur l'oiseaux ! de Camelia86
Attraper l'oiseaux avant qui s'en aille
Sinon il va ce sauver pour toujours
Attention il part Vite Vite
Les oiseaux sont plus mignons
Je l'ai adore et j'ai envie de les attraper
Pour les mettre dans leur nid
J'adore les oiseaux ce sont les plus chouettes
Ce sont les meilleures ! Je l'ai adore enfin !
Je l'ai adore !
Adieu - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou de Apollinaire
L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort
O Lou le mien est plus fort encor que la mort
Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord
Lettres Envoie aussi des lettres ma chérie
On aime en recevoir dans notre artillerie
Une par jour au moins une au moins je t’en prie
Lentement la nuit noire est tombée à présent
On va rentrer après avoir acquis du zan
Une deux trois A toi ma vie A toi mon sang
La nuit mon coeur la nuit est très douce et très blonde
O Lou le ciel est pur aujourd’hui comme une onde
Un cœur le mien te suit jusques au bout du monde
L’heure est venue Adieu l’heure de ton départ
On va rentrer Il est neuf heures moins le quart
Une deux trois Adieu de Nîmes dans le Gard
de
Pour moi le voyage
C'est comme un message
Tu apprend des langues
de poèmesvagabonds
A mon amour perdu,
De te parler
Eclaircit mes idées,
De te voir
Eloigne mes cachemards.
Je t'aime
Mais pourtant on dirait que
Tu ne m'as jamais aimée
On était ensemble,
Tu m'as rejettée.
J'ai compris que
Plus jamais tu ne seras
Ma lumière dans l'ombre
Mon soleil dans la nuit.
Je sais que tu feras comme si de rien n'était, mais sache que
Je t'aimais
Je t'aime
Je t'aimerais
Pour toujours
A jamais.
de poèmesvagabonds
Amourette secrète
Les yeux dans les yeux,
Ma main dans la tienne,
Nos âmes entrelacées
En une seule pensée.
Je pense à toi,
Tu penses à moi,
Rejoignons-nous,
Sous un arbuste de houx,
Embrassons-nous.
Tu m'enlèverais,
De mes cheveux décoiffés par le vent,
Une feuille tombée de l’arbre,
Tu me prendrais dans tes bras,
En guise d’au revoir,
Le cœur lourd,
Nous nous quitterions
Pour nous promettre de revenir
A la même heure
Sous le même buisson
Le lendemain,
Pour continuer
Cette amourette
Secrète.
Eléonore Leblanc
le message de vuvu
Le message
Le cœur serré, ressent ton amour
Temps interminable, avant ton retour
Est- il juste cette rupture inattendue ?
Venu de loin ton amour perdu,
Pour venimer notre lien d’âmes !
Te l’avouer juste sans blâme,
Quitter par amour ne peine pas les cœurs.
OCT 16 ( Khalid EL Morabethi ) ( Une lueur , un c de Khalid EL Morabethi
Une lueur, un cri. Il était une fois un homme sur un banc toujours assis Dans un beau jardin plein de belles fleurs Toujours la, mais son cœur, son âme, son esprit étaient ailleurs L’homme aux yeux noirs songeait à toutes les belles choses qui l’entouraient Il avait ce sourire même s’il était si faible et déprimé Il pensait à sa fille Leila qui l’avait quitté Il pensait à l’espoir qui est parti sans se soucier de ce qui peut lui arriver. Une lueur, un appel Il appelle sa mère qui est partie le jour de sa naissance L’homme, le vieillard appelle ses espérances Dans un monde infernal, il est demeuré seul Un appel à la belle vie qui est partie très loin de son univers froid La nuit, il a pris l’habitude de se diriger vers l’oubli et jusqu\'à l’ivresse il boit. Un hurlement, un rêve L’esprit de l’enfant attendait le retour de ses parents Il voulait être content Il attendait juste leurs amours Mais elles sont parties pour toujours Un départ sans retour. Une lueur, un cri L’homme sur un banc toujours assis Il se demandait, pourquoi les fantômes du mal ont hantés sa vie ? Pourquoi sa vie dans une tempête avait sombré ? Pourquoi son corps dans cette petite cage sans porte a été enfermé ? Des lames de sang et des appels Après la prière, il appelle son unique ciel Son unique appui, sa seule raison, sa vie Dieu … l’amour, le bonheur et le fidèle ami Dieu… Qui n’abandonne personne Qui pardonne. Une douce mélodie Une voix charmante d’une ravissante sirène à l’intérieur du paradis Son parfum flottait dans l’air Elle lance son rayon et le côté ténébreux s’éclaire Sa voix audacieuse a apporté le printemps à une terre qui souffrait dans l’obscurité A l’intérieur du paradis près de l’arbre interdit, elle chantait. Une lueur, un cri La nuit, à la maison les cierges s’allument Le sage prend enfin sa plume Il revient avec sa mémoire en arrière Ecrivant son enfance et la rivière Ou tous ses rêves étaient noyés Noyés. La lune, le soir, un sourire, des yeux fermés C’était lui et moi Un hôpital, une chambre blanche et un lit Il ouvrit ses yeux et il m\'a souri C’était son dernier silence C’était ma dernière mélodie silencieuse. Khalid EL Morabethi Maroc / Oujda 10/7/1994 [email protected] faculté mohammed 1 oujda lettre Tout droit réservéde Sky
Les saisons ...
Parce qu'on est meilleur en dehors
Et qu'en dedans l'on étouffe,
Parce que la nature vaut de l'or
Et que je veux sentir son souffle,
Par la bise nous commencerons .
Tout comme la neige je suis frigide ;
Nous avons droit à l'Aquilon
Et moi je reste aussi acide .
Puis vient enfin le renouveau
Et le muguet en est à l'une,
Le zéphyr donne l'air qu'il faut
Mais moi je reste taciturne .
Les soirs bleus d'été me font sourire,
Ils arrivent même à faire rêvés .
La réalité me prend et me tire,
Car il semblent falloir s'arrêter .
Pourquoi finir par l'automne ?
Moi même, je ne sais pas .
Les couleurs peuvent paraître monotones,
Mais elles réchauffent mon coeur si las .
Jour -j de jérôme R.
Le jour j
Le rêve est une fatalité,
Puisque le temps passe , comme
Les nuages dans un ciel noir
Noir de haine,
Abuser, violer,
Ton esprit est corrompus
L'os tu la dans le cul
Patience et douceur
Prend ton mal en douleur
Craint ,ais peur
La souffrance perçu comme une vengeance
La folies devient passion
Plus qu'un parmi les pierres
Un passé en tance
Un jour la nuit tombe
Dans le noir on sombre
Pour sortir de l'ombre
Il faudra survivre a l’hécatombe
L'homme chasse , pêche, et pisse
Partout, bientôt la terre s'ouvre,
Pour tous nous engloutir,
enterrer vivant , pas le temps de mourir.
Les arbres nous étranglerons de leur branche,
Les rires se mêleront aux cris , alors,
Ils résonneront pour laisser place au calme
Rayonner la lumière,
Une fois les yeux des aveugles ouvert.
Les éclairs crache et arrache le ciel,
Les veines promettent de lâcher,
cette vision sombre ,
annonce un sommeil incertain.
Je remplis mon verre de honte,
Je bois au Tombeau
Ce sang impure,
Plus nocif que le cyanure.
Avec ce gout amer, la mémoire écorché,
Se noie et se perd le futur macchabée
L'odeur putride qui s'en dégage enivre le paysage,
Seul les couleurs reflète encore le décor.
Notre absence comme un désir accompli,
Ouvre divine ou mauvais présage
Perpétré,
Allons enfant de la patrie
Nous décomposer en paix.
nocturne de tourterelle