Poème avec+france - 11 Poèmes sur avec+france

11 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : avec farinacé farinacée farinacées farinacés franc franc-bord franc-bourgeois franc-jeu franc-maçon franc-maçonne franc-parler franc-tireur France Francfort franche Franche-Comté franchement franches franchi franchie franchies franchîmes franchir franchira franchirai franchiraient franchirais franchirait franchiras franchirent franchirez franchiriez franchirions franchirons franchiront franchis franchisage franchisages franchise franchises franchissable franchissables franchissaient franchissais franchissait franchissant franchisse franchissement franchissements franchissent franchisses franchissez franchissiez franchissions franchissons franchit franchît franchîtes francien franciens francique franciques Francis francisa francisai francisaient francisais francisait francisâmes francisant francisas francisasse francisassent francisasses francisassiez francisassions francisât francisâtes francisation francisations franciscain franciscaine franciscaines franciscains francise francisé francisée francisées francisent franciser francisera franciserai franciseraient franciserais franciserait franciseras francisèrent franciserez franciseriez franciserions franciserons franciseront francises francisés francisez francisiez francisions francisons francisque francisques franciste francistes francité francités francium franciums francs francs-alleux francs-bords francs-bourgeois francs-jeux francs-maçonnes francs-maçons francs-parlers francs-quartiers francs-tireurs fronce froncé froncée froncées froncement froncements froncent froncer froncera froncerai fronceraient froncerais froncerait fronceras froncèrent froncerez fronceriez froncerions froncerons fronceront fronces froncés froncez fronciez froncions froncis furoncle furoncles ...

Je croyais que l'amour c'était toi seul. J'entends
Soudain l'étrange et pur silence du printemps !
Le soir n'arrive point à l'heure coutumière :
Ce doux prolongement de rêveuse lumière
Est comme un messager qui dans le drame accourt
Et puis d'abord se tait. - Je croyais que l'amour
C'était toi seul, avec, serrés sur ton visage,
La musique, les cieux, les climats, les voyages.
Mais plus énigmatique, et plus réelle aussi,
Le doigt levé, ainsi que, Saint Jean, de Vinci,
Écoutant je ne sais quelle immense nouvelle,
L'heure, qui se maintient et lentement chancelle,
Me fixe d'un regard où les siècles ont mis
Le secret fraternel à mon esprit promis...

Le vent s'essaye et tombe. Au loin un chien aboie.

Toi qui fus la douleur dont j'avais fait ma joie,
Toi par qui je portais, mendiant, un trésor,
Qui fus mon choix soudain et pourtant mon effort,
Toi que mon coeur vantait, en appelant sa chance
Cette ardente, servile, oppressante souffrance
De sentir tout mon être entravé par ton corps,
Toi qui fus mon salut et mon péril extrême,
Se, pourrait-il ce soir que, plus fort que toi-même,
L'éternel univers fût vraiment ce que j'aime ?...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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