Poème incertain - 10 Poèmes sur incertain

10 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : incertain incertaine incertaines incertains incertitude incertitudes incrédule incrédules incrédulité incrédulités incréé incréée incréées incréés incrément incrémenta incrémentai incrémentaient incrémentais incrémentait incrémentâmes incrémentant incrémentas incrémentasse incrémentassent incrémentasses incrémentassiez incrémentassions incrémentât incrémentâtes incrémente incrémenté incrémentée incrémentées incrémentent incrémenter incrémentera incrémenterai incrémenteraient incrémenterais incrémenterait incrémenteras incrémentèrent incrémenterez incrémenteriez incrémenterions incrémenterons incrémenteront incrémentes incrémentés incrémentez incrémentiez incrémentions incrémentons incréments increvable increvables incrimina incriminable incriminables incriminai incriminaient incriminais incriminait incriminâmes incriminant incriminas incriminasse incriminassent incriminasses incriminassiez incriminassions incriminât incriminâtes incrimination incriminations incrimine incriminé incriminée incriminées incriminent incriminer incriminera incriminerai incrimineraient incriminerais incriminerait incrimineras incriminèrent incriminerez incrimineriez incriminerions incriminerons incrimineront incrimines incriminés incriminez incriminiez incriminions incriminons incristallisable incristallisables incrochetable incrochetables incroyable incroyablement incroyables incroyance incroyances incroyant incroyante incroyantes incroyants incrusta incrustai incrustaient incrustais incrustait incrustâmes incrustant incrustante incrustantes incrustants incrustas incrustasse incrustassent incrustasses incrustassiez incrustassions incrustât incrustâtes incrustation incrustations incruste incrusté incrustée incrustées incrustent incruster incrustera incrusterai incrusteraient incrusterais incrusterait incrusteras incrustèrent incrusterez incrusteriez incrusterions incrusterons incrusteront incrustes incrustés incrusteur incrusteurs incrusteuse incrusteuses incrustez incrustiez incrustions incrustons ...

Du zéphyr l'amoureuse haleine
Soulève encor tes longs cheveux ;
Sur ton sein leurs flots onduleux
Retombent en tresses d'ébène,

L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.

Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.

C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage;
L'onde réfléchit ton image;
Le zéphyr m'apporte ta voix.

Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.

Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.

Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.

C'est ta main qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.

Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.

Pendant mon sommeil, si ta main
De mes jours déliait la trame,
Céleste moitié de mon âme,
J'irais m'éveiller dans ton sein !

Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Souvenir
Poèmes de Alphonse de Lamartine

Citations de Alphonse de Lamartine

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Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
De rose et de santal.


Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
L’agonie et l’amour.


Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.


Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité.
À la Femme aimée
Poèmes de Renée Vivien

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