Poème suis+ombre - 18 Poèmes sur suis+ombre

18 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : ès hésité s S.A sa saï saie saies sais saïs saisît sait sas sassé satî sauça sauçai sauçais sauçait sauças sauçât saut sauté se seau séché ses set si sied siée sis sodé soi soie soies sois soit sot sou soudé soue soues souhait souhaité sous St su sua suai suais suait suas suât suça suçai suçais suçait suças suçât suçoté sud sue sué suédé suée suées sues sués suie suies suis suit sus sut sût ombra ombrage ombragé ombragea ombrageai ombrageaient ombrageais ombrageait ombrageâmes ombrageant ombrageas ombrageasse ombrageassent ombrageasses ombrageassiez ombrageassions ombrageât ombrageâtes ombragée ombragées ombragent ombrageons ombrager ombragera ombragerai ombrageraient ombragerais ombragerait ombrageras ombragèrent ombragerez ombrageriez ombragerions ombragerons ombrageront ombrages ombragés ombrageuse ombrageuses ombrageux ombragez ombragiez ombragions ombrai ombraient ombrais ombrait ombrâmes ombrant ombras ombrasse ombrassent ombrasses ombrassiez ombrassions ombrât ombrâtes ombre ombré ombrée ombrées ombrelle ombrelles ombrent ombrer ombrera ombrerai ombreraient ombrerais ombrerait ombreras ombrèrent ombrerez ombreriez ombrerions ombrerons ombreront ombres ombrés ombrette ombrettes ombreuse ombreuses ombreux ombrez ombrien ombrienne ombriennes ombriens ombriez ombrine ombrines ombrions ombrons ...

Tu me donnes enfin la paix
Par cet excès de toi; l'aisance
Se répand en moi; tu te tais
Et tu réponds à mon silence.
- Je n'ai plus à questionner,
Plus à perdre, plus à gagner,
Rien à savoir, rien à nier;
Je suis, dans l'ombre où je repose,
Insensible comme les choses... .
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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Je ne change point, ô vierges de Lesbos !
Lorsque je poursuis la Beauté fugitive,
Tel le Dieu chassant une vierge au peplos
Très blanc sur la rive.

Je n’ai point trahi l’invariable amour.
Mon cœur identique et mon âme pareille
Savent retrouver, dans le baiser d’un jour,
Celui de la veille.

Et j’étreins Atthis sur les seins de Dika.
J’appelle en pleurant, sur le seuil de sa porte,
L’ombre, que longtemps ma douleur invoqua,
De Timas la morte.

Pour l’Aphrodita j’ai dédaigné l’Éros,
Et je n’ai de joie et d’angoisse qu’en elle :
Je ne change point, ô vierges de Lesbos,
Je suis éternelle.
Envers vous, belles, ma pensée n’est point changeante
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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