Poème absence - 8 Poèmes sur absence
8 poèmes
Synonymes (Cliquez pour la liste complète) : absentéisme abstraction amnésie apathie bévue carence défaillance défaut défection départ disette disparition distance distraction échappée éclipse école buissonnière égarement éloignement escapade faute fugue inattention manque omission oubli privation rien séparation ...
Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : abaissaient abaissant abaissante abaissantes abaissants abaissent abaissions abaissons absence absences absent absentâmes absentassiez absentassions absentâtes absente absenté absentée absentées absentéisme absentéismes absentéiste absentéistes absenter absenterez absenteriez absenterions absenterons absentes ...
Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeSi je vous dis : j'ai tout abandonné
C'est qu'elle n'est pas celle de mon corps,
Je ne m'en suis jamais vanté,
Ce n'est pas vrai
Et la brume de fond où je me meus
Ne sait jamais si j'ai passé.
L'éventail de sa bouche, le reflet de ses yeux,
Je suis le seul à en parler,
je suis le seul qui soit concerné
Par ce miroir si nul où l'air circule à travers moi
Et l'air a un visage aimant, ton visage,
A toi qui n'as pas de nom et que les autres ignorent,
La mer te dit : sur moi, le ciel te dit : sur moi,
Les astres te devinent, les nuages t'imaginent
Et le sang de la générosité
Te porte avec délices.
Je chante la grande joie de te chanter,
La grande joie de t'avoir ou de ne pas t'avoir,
La candeur de t'attendre, l'innocence de te connaitre,
O toi qui supprimes l'oubli, l'espoir et l'ignorance,
Qui supprimes l'absence et qui me mets au monde,
Je chante pour chanter, je t'aime pour chanter
Le mystère où l'amour me crée et se délivre.
Tu es pure, tu es encore plus pure que moi-même.
Celle de toujours, toute
Poèmes de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
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Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeToi la seule et j'entends les herbes de ton rire
Toi c'est la tête qui t'enlève
Et du haut des dangers de mort
Sur les globes brouillés de pluie des vallées
Sous la lumière lourde sous le ciel de terre
Tu enfantes la chute.
Les oiseaux ne sont plus un abri suffisant
Ni la paresse ni la fatigue
Le souvenir des bois et des ruisseaux fragiles
Au matin des caprices
Au matin des caresses visibles
Au grand matin de l'absence la chute.
Les barques de tes yeux s'égarent
Dans la dentelle des disparitions
Le gouffre est dévoilé aux autres de l'éteindre
Les ombres que tu crées n'ont pas droit à la nuit.
Toi la seule
Poèmes de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
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