Poème m+envahir - 4 Poèmes sur m+envahir

4 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : âme âmes ème émet émeu émeus émeut émia émiai émiais émiait émiâmes émias émiât émie émié émiée émiées émies émiés émîmes émis émit émît émoi émois émou émoud émous ému émue émues émûmes émus émut émût m ma Mahomet mahous mai maïa maïas maie maies mais maïs mamie mamies mas mat mât maté mâté math Me me méat mémé même mémés mêmes mes met meus meut mi mi-août mi-mai miaou miaous mie mies mima mimai mimais mimait mimas mimât mime mimé mimée mimées mimes mimés mîmes mimi mimis mis misé mit mît mité MM Mme Mmes moi mois moisé moité môme mômes momie momies mot mou moud moue moues mous moût ms mu mû mua muai muais muait muâmes muas muât mue mué muée muées mues mués muet muid mûmes mus musé mut mût muté mye myes myome myomes enivra enivrai enivraient enivrais enivrait enivrâmes enivrant enivrante enivrantes enivrants enivras enivrasse enivrassent enivrasses enivrassiez enivrassions enivrât enivrâtes enivre enivré enivrée enivrées enivrement enivrements enivrent enivrer enivrera enivrerai enivreraient enivrerais enivrerait enivreras enivrèrent enivrerez enivreriez enivrerions enivrerons enivreront enivres enivrés enivrez enivriez enivrions enivrons envahir envahira envahirai envahiraient envahirais envahirait envahiras envahirent envahirez envahiriez envahirions envahirons envahiront enverge envergé envergea envergeai envergeaient envergeais envergeait envergeâmes envergeant envergeas envergeasse envergeassent envergeasses envergeassiez envergeassions envergeât envergeâtes envergée envergées envergent envergeons enverger envergera envergerai envergeraient envergerais envergerait envergeras envergèrent envergerez envergeriez envergerions envergerons envergeront enverges envergés envergez envergiez envergions envergua enverguai enverguaient enverguais enverguait enverguâmes enverguant enverguas enverguasse enverguassent enverguasses enverguassiez enverguassions enverguât enverguâtes envergue envergué enverguée enverguées enverguent enverguer enverguera enverguerai envergueraient enverguerais enverguerait envergueras enverguèrent enverguerez envergueriez enverguerions enverguerons envergueront envergues envergués enverguez enverguiez enverguions enverguons envergure envergures enverra enverrai enverraient enverrais enverrait enverras enverrez enverriez enverrions enverrons enverront envers envier enviera envierai envieraient envierais envierait envieras envièrent envierez envieriez envierions envierons envieront environ environna environnai environnaient environnais environnait environnâmes environnant environnante environnantes environnants environnas environnasse environnassent environnasses environnassiez environnassions environnât environnâtes environne environné environnée environnées environnement environnemental environnementale environnementales environnementaliste environnementalistes environnementaux environnements environnent environner environnera environnerai environneraient environnerais environnerait environneras environnèrent environnerez environneriez environnerions environnerons environneront environnes environnés environnez environniez environnions environnons environs ...

Le courage est ce qui remplace
Ce que l'on désire, et parfois
Si ferme et si haute est sa foi
Qu'il s'enivre du vain espace.

Semblable à la musique, il sait
Envahir, leurrer, se répandre,
Mais il n'est qu'un mortel essai
Pour l'instinct véhément et tendre,

Car, dans les choses de l'amour,
Les seules exactes et sages
Et qui dédaignent tout détour,
Comment croirait-on au courage ?

Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème
| Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 768 votes

Pendant longtemps, je fus clouée au pilori,
Et des femmes, voyant que je souffrais, ont ri.

Puis, des hommes ont pris dans leurs mains une boue
Qui vint éclabousser mes tempes et ma joue.

Les pleurs montaient en moi, houleux comme des flots,
Mais mon orgueil me fit refouler mes sanglots.

Je les voyais ainsi, comme à travers un songe
Affreux et dont l’horreur s’irrite et se prolonge.

La place était publique et tous étaient venus,
Et les femmes jetaient des rires ingénus.

Ils se lançaient des fruits avec des chansons folles,
Et le vent m’apportait le bruit de leurs paroles.

J’ai senti la colère et l’horreur m’envahir.
Silencieusement, j’ai appris à les haïr.

Les insultes cinglaient, comme des fouets d’ortie.
Lorsqu’ils m’ont détachée enfin, je suis partie.

Je suis partie au gré du vent. Et depuis lors
Mon visage est pareil à la face des morts.
Le Pilori
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème
| Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 840 votes