Poème chagrin+plus - 10 Poèmes sur chagrin+plus
10 poèmes
Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : chagrin chagrina chagrinai chagrinaient chagrinais chagrinait chagrinâmes chagrinant chagrinante chagrinantes chagrinants chagrinas chagrinasse chagrinassent chagrinasses chagrinassiez chagrinassions chagrinât chagrinâtes chagrine chagriné chagrinée chagrinées chagrinent chagriner chagrinera chagrinerai chagrineraient chagrinerais ...
Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeÀ quoi veux-tu songer? À toi. Songeons à toi.
Non, je ne juge pas ton amer caractère;
Rien de ton coeur serré ne me parait étroit
Si sur toi j'ai plié mon amour de la terre,
Mon amour des humains, de l'infini, des cieux,
Ma facile allégresse à répandre ma vie,
À rejoindre d'un bond, par les ailes des yeux,
L'éther qui m'appartient et dont tous ont envie !
Qu'y a-t-il de plus sûr et de meilleur que toi,
Ou, du moins, que l'amour brisant que tu m'inspires ?
- Le souci, les regrets, la mort sous tous les toits,
L'ambition qui râle et l'ennui qui soupire ! -
Moi je suis à l'abri ! Je n'ai, pour me tuer,
Pour me faire languir, pour créer ma détresse,
Que l'anxieux regard dans tes yeux situé,
Que l'accablant désert où souvent tu me laisses.
C'est assez ! Ah ! c'est trop ! Ou bien c'est suffisant !
Ces suprêmes chagrins m'ont d'autres maux guérie;
Et quelquefois je sens se réjouir mon sang
Quand tu ris comme l'eau dans la fraîche prairie !
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
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Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeBaiser ! rose trémière au jardin des caresses !
Vif accompagnement sur le clavier des dents
Des doux refrains qu'Amour chante en les coeurs ardents
Avec sa voix d'archange aux langueurs charmeresses !
Sonore et gracieux Baiser, divin Baiser !
volupté non pareille, ivresse inénarrable !
Salut ! l'homme, penché sur ta coupe adorable,
S'y grise d'un bonheur qu'il ne sait épuiser.
Comme le vin du Rhin et comme la musique,
Tu consoles et tu berces, et le chagrin
Expire avec la moue en ton pli purpurin...
Qu'un plus grand, Goethe ou Will, te dresse un vers classique.
Moi, je ne puis, chétif trouvère de Paris,
T'offrir que ce bouquet de strophes enfantines :
Sois bénin, et pour prix, sur les lèvres mutines
D'Une que je connais, Baiser, descends, et ris.
Il Bacio
Poèmes de Paul Verlaine
Citations de Paul Verlaine
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