Poème monde+rien - 20 Poèmes sur monde+rien


20 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : émonda émondai émondais émondait émondas émondât émonde émondée émondées émondes émondés manade manades manda mandai mandais mandait mandas mandat mandât mandaté mande mandée mandées mandes mandés ménade ménades mendia ...


Mon enfant, ma soeur,
Songe
à la douceur
D
'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer
à loisir,
Aimer
et mourir
Au
pays qui te ressemble !
Les
soleils mouillés
De
ces ciels brouillés
Pour
mon esprit ont les charmes
Si
mystérieux
De
tes traîtres yeux,
Brillant
à travers leurs larmes.

, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe
, calme et volupté.

Des
meubles luisants,
Polis
par les ans,
Décoreraient
notre chambre ;
Les
plus rares fleurs
Mêlant
leurs odeurs
Aux
vagues senteurs de l'ambre,
Les
riches plafonds,
Les
miroirs profonds,
La
splendeur orientale,
Tout
y parlerait
À
l'âme en secret
Sa
douce langue natale.

, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe
, calme et volupté.

Vois
sur ces canaux
Dormir
ces vaisseaux
Dont
l'humeur est vagabonde ;
C
'est pour assouvir
Ton
moindre désir
Qu
'ils viennent du bout du monde.
-
Les soleils couchants
Revêtent
les champs,
Les
canaux, la ville entière,
D
'hyacinthe et d'or ;
Le
monde s'endort
Dans
une chaude lumière.

, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe
, calme et volupté.
L'invitation au voyage
Poèmes de Charles Baudelaire

Citations de Charles Baudelaire
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Dans mon chagrin, rien n'est en mouvement
J
'attends, personne ne viendra
Ni
de jour, ni de nuit
Ni
jamais plus de ce qui fut moi-même

Mes
yeux se sont séparés de tes yeux
Ils
perdent leur confiance, ils perdent leur lumière
Ma
bouche s'est séparée de ta bouche
Ma
bouche s'est séparée du plaisir
Et
du sens de l'amour, et du sens de la vie
Mes
mains se sont séparées de tes mains
Mes
mains laissent tout échapper
Mes
pieds se sont séparés de tes pieds
Ils
n'avanceront plus, il n'y a plus de route
Ils
ne connaîtront plus mon poids, ni le repos

Il
m'est donné de voir ma vie finir
Avec
la tienne
Ma
vie en ton pouvoir
Que
j'ai crue infinie

Et
l'avenir mon seul espoir c'est mon tombeau
Pareil
au tien, cerné d'un monde indifférent
J
'étais si près de toi que j'ai froid près des autres.
Ma morte vivante
Poèmes de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard

Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
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